L’avocat de Mathilde Panot estime “qu’aucun de ses propos ne peut être qualifié d’apologie du terrorisme”.
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Temps de lecture : 1 min
“Mathilde Panot n’a jamais rien dit qui puisse rentrer dans cette qualification”, raconte à franceinfo Jade Dousselin, l’avocate du chef des députés insoumis à l’Assemblée nationale. Mathilde Panot a annoncé, mardi 23 avril, sa convocation par la police pour “apologie du terrorisme” dans le cadre d’une enquête ouverte à la suite d’un communiqué du groupe parlementaire publié le 7 octobre, jour de l’attaque sans précédent menée par le Hamas contre Israël.
L’avocat affirme qu’à ce stade ils ne bénéficient pas encore “élément spécifique” sur ce qui lui est reproché, ce qui est classique dans le cadre d’une audience libre. Mais Maître Dousselin affirme que “nous pouvons d’ores et déjà annoncer qu’aucun de ses propos ne peut être qualifié de défense pénale du terrorisme”. Elle rappelle qu’il s’agit d’un « infraction extrêmement grave ».
Le chef des députés insoumis « pourrait refuser de comparaître à cette audience libre, mais ce n’est pas le choix qu’elle a fait. Elle comparaîtra devant les tribunaux. La date n’est pas encore connue. Elle était prévue le jeudi 25 avril mais a été reportée à une date qui n’a pas encore été fixée.
L’avocat de Mathilde Panot estime “qu’aucun de ses propos ne peut être qualifié d’apologie du terrorisme”.
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“Mathilde Panot n’a jamais rien dit qui puisse rentrer dans cette qualification”, raconte à franceinfo Jade Dousselin, l’avocate du chef des députés insoumis à l’Assemblée nationale. Mathilde Panot a annoncé, mardi 23 avril, sa convocation par la police pour “apologie du terrorisme” dans le cadre d’une enquête ouverte à la suite d’un communiqué du groupe parlementaire publié le 7 octobre, jour de l’attaque sans précédent menée par le Hamas contre Israël.
L’avocat affirme qu’à ce stade ils ne bénéficient pas encore “élément spécifique” sur ce qui lui est reproché, ce qui est classique dans le cadre d’une audience libre. Mais Maître Dousselin affirme que “nous pouvons d’ores et déjà annoncer qu’aucun de ses propos ne peut être qualifié de défense pénale du terrorisme”. Elle rappelle qu’il s’agit d’un « infraction extrêmement grave ».
Le chef des députés insoumis « pourrait refuser de comparaître à cette audience libre, mais ce n’est pas le choix qu’elle a fait. Elle comparaîtra devant les tribunaux. La date n’est pas encore connue. Elle était prévue le jeudi 25 avril mais a été reportée à une date qui n’a pas encore été fixée.