Promulgué lundi 6 mai, le nouveau Code pénal algérien apparaît comme le dernier tour de vis du régime avant l’élection présidentielle du 7 septembre, au milieu d’un paysage politique complètement verrouillé. Le texte prévoit, entre autres, de lourdes peines, allant de 5 ans de prison à la réclusion à perpétuité, contre ceux qui « divulguer des documents confidentiels sur les réseaux sociaux ou à l’étranger ou nuire au moral de l’armée »rapporte le site d’information algérien Tout sur l’Algérie (TSA).
Les policiers sont également protégés par le nouveau texte, qui leur garantit une quasi-immunité puisque « toute personne qui porte atteinte à l’image des services de sécurité ou de leurs affiliés par un écrit, un dessin, ou tout autre support sonore ou image, ou par tout autre moyen »sera puni d’une peine d’emprisonnement d’un à trois ans et d’une amende de 100 000 à 300 000 dinars algériens (entre 700 et 2 000 euros).
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