Alors que les négociations débuteront le 11 juin, la présidente sortante de la Commission européenne s’est dite prête à une alliance avec les nationalistes. Les socialistes, les Verts et les libéraux ont déjà clairement fait savoir qu’ils s’opposeraient à toute collaboration avec l’extrême droite. Sa nomination pourrait également susciter un débat parmi les chefs d’État.
Alors que les négociations débuteront le 11 juin, la présidente sortante de la Commission européenne s’est dite prête à une alliance avec les nationalistes. Les socialistes, les Verts et les libéraux ont déjà clairement fait savoir qu’ils s’opposeraient à toute collaboration avec l’extrême droite. Sa nomination pourrait également susciter un débat parmi les chefs d’État.