DOCUMENT / AFP
En Birmanie, Aung San Suu Kyi a été transférée de sa prison dans une maison pour « recevoir des soins » (Photo d’Aung San Suu Kyi, assise à gauche, prise le 24 mai 2024)
BIRMANIE – L’ancienne chef du gouvernement birman Aung San Suu Kyi, emprisonnée depuis le coup d’État de 2021, a été sortie de sa cellule et transférée dans une maison, a annoncé une source officielle à l’AFP ce mercredi 17 avril.
Cette source n’a pas précisé s’il s’agissait d’un placement en résidence surveillée ou d’une réduction de sa peine, mais selon le porte-parole de la junte Zaw Min Tun, le prix Nobel de la paix, 78 ans, doit «recevoir des soins à cause de la canicule».
Elle a été condamnée à 33 ans de prison en 2022 pour une série d’accusations, notamment corruption, possession de talkies-walkies illégaux et non-respect des restrictions de Covid. EN 2023, elle a été partiellement graciée par la junte pour cinq de ses 19 condamnations.
La junte au pouvoir a par ailleurs annoncé ce mercredi dans un communiqué l’amnistie de 3.300 prisonniers à l’occasion du nouvel an birman.
Les autres détenus bénéficient d’une réduction d’un sixième de leur peine, à l’exception de ceux reconnus coupables de meurtre, de terrorisme et de trafic de drogue, précise le communiqué.
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En Birmanie, Aung San Suu Kyi a été transférée de sa prison dans une maison pour « recevoir des soins » (Photo d’Aung San Suu Kyi, assise à gauche, prise le 24 mai 2024)
BIRMANIE – L’ancienne chef du gouvernement birman Aung San Suu Kyi, emprisonnée depuis le coup d’État de 2021, a été sortie de sa cellule et transférée dans une maison, a annoncé une source officielle à l’AFP ce mercredi 17 avril.
Cette source n’a pas précisé s’il s’agissait d’un placement en résidence surveillée ou d’une réduction de sa peine, mais selon le porte-parole de la junte Zaw Min Tun, le prix Nobel de la paix, 78 ans, doit «recevoir des soins à cause de la canicule».
Elle a été condamnée à 33 ans de prison en 2022 pour une série d’accusations, notamment corruption, possession de talkies-walkies illégaux et non-respect des restrictions de Covid. EN 2023, elle a été partiellement graciée par la junte pour cinq de ses 19 condamnations.
La junte au pouvoir a par ailleurs annoncé ce mercredi dans un communiqué l’amnistie de 3.300 prisonniers à l’occasion du nouvel an birman.
Les autres détenus bénéficient d’une réduction d’un sixième de leur peine, à l’exception de ceux reconnus coupables de meurtre, de terrorisme et de trafic de drogue, précise le communiqué.
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