Une semaine après sa nomination au poste de Premier ministre, Michel Barnier poursuit ses consultations pour former un gouvernement. Une équipe dont les équilibres politiques devront faire l’objet d’une attention particulière de sa part, tant l’Assemblée nationale est fragmentée depuis le résultat des législatives. Aurore Bergé conserve au moins “une certitude” : « Des membres du bloc central seront présents dans ce gouvernement »elle l’a confirmé ce jeudi matin sur RTL.
Donc, si elle admet que« Il faut de l’alternance »la ministre démissionnaire chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes estime que « Cette alternance doit s’incarner avec les membres du bloc central », « première force de soutien au Premier ministre à l’Assemblée nationale ».
Cependant, le député Renaissance des Yvelines “ne désespérez pas” de voir des personnalités de gauche venir grossir les rangs de la coalition gouvernementale qui se dessine entre la Macronie et Les Républicains. « Peut-être qu’individuellement, les sociaux-démocrates (avoir) veulent participer et peut-être se libérer de la tutelle du LFI », elle imagine. Dans son viseur, la « socialistes » mais, plus généralement, les sociaux-démocrates qu’il juge « Beaucoup de gens veulent éviter de se retrouver coincés de manière permanente dans une forme de syndrome de Stockholm avec LFI ». Et d’ajouter : « Ce sont un peu les otages de Mélenchon. »
Une semaine après sa nomination au poste de Premier ministre, Michel Barnier poursuit ses consultations pour former un gouvernement. Une équipe dont les équilibres politiques devront faire l’objet d’une attention particulière de sa part, tant l’Assemblée nationale est fragmentée depuis le résultat des législatives. Aurore Bergé conserve au moins “une certitude” : « Des membres du bloc central seront présents dans ce gouvernement »elle l’a confirmé ce jeudi matin sur RTL.
Donc, si elle admet que« Il faut de l’alternance »la ministre démissionnaire chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes estime que « Cette alternance doit s’incarner avec les membres du bloc central », « première force de soutien au Premier ministre à l’Assemblée nationale ».
Cependant, le député Renaissance des Yvelines “ne désespérez pas” de voir des personnalités de gauche venir grossir les rangs de la coalition gouvernementale qui se dessine entre la Macronie et Les Républicains. « Peut-être qu’individuellement, les sociaux-démocrates (avoir) veulent participer et peut-être se libérer de la tutelle du LFI », elle imagine. Dans son viseur, la « socialistes » mais, plus généralement, les sociaux-démocrates qu’il juge « Beaucoup de gens veulent éviter de se retrouver coincés de manière permanente dans une forme de syndrome de Stockholm avec LFI ». Et d’ajouter : « Ce sont un peu les otages de Mélenchon. »