Marine Le Pen menace de censure si Éric Dupond-Moretti ou Xavier Bertrand sont nommés au gouvernement
Si le chef des députés RN reconnaît que la formation d’une équipe “autour d’un premier ministre issu de la force politique (Les Républicains, NDLR) “plus ou moins le plus faible de l’Assemblée n’attire pas les foules”et que le « La façon dont les LR se vantent ne doit pas faciliter la tâche à Michel Barnier »elle met son veto à certains profils “candidats ministériels».
Se classant au sommet de ses critères « Traiter correctement les électeurs du RN »et les groupes parlementaires « d’une manière courtoise et républicaine »elle refuse de nommer le ministre de la Justice démissionnaire, Éric Dupond-Moretti. Qui « fait un doigt d’honneur à l’opposition et insulte copieusement tous ceux qui ont le malheur de ne pas être d’accord avec lui ».
Le même rejet a été fait au président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qu’elle avait déjà repoussé quand Emmanuel Macron peinait à trouver un successeur à Gabriel Attal. Sa possible nomination avait été perçue comme une provocation par le RN, Marine Le Pen ayant un lourd passé politique chez les Picards.
Marine Le Pen menace de censure si Éric Dupond-Moretti ou Xavier Bertrand sont nommés au gouvernement
Si le chef des députés RN reconnaît que la formation d’une équipe “autour d’un premier ministre issu de la force politique (Les Républicains, NDLR) “plus ou moins le plus faible de l’Assemblée n’attire pas les foules”et que le « La façon dont les LR se vantent ne doit pas faciliter la tâche à Michel Barnier »elle met son veto à certains profils “candidats ministériels».
Se classant au sommet de ses critères « Traiter correctement les électeurs du RN »et les groupes parlementaires « d’une manière courtoise et républicaine »elle refuse de nommer le ministre de la Justice démissionnaire, Éric Dupond-Moretti. Qui « fait un doigt d’honneur à l’opposition et insulte copieusement tous ceux qui ont le malheur de ne pas être d’accord avec lui ».
Le même rejet a été fait au président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qu’elle avait déjà repoussé quand Emmanuel Macron peinait à trouver un successeur à Gabriel Attal. Sa possible nomination avait été perçue comme une provocation par le RN, Marine Le Pen ayant un lourd passé politique chez les Picards.