Le secteur culturel écossais, qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid, est confronté à des difficultés croissantes ces dernières semaines. Confrontés à d’importants défis financiers, plusieurs événements ou acteurs de la scène artistique et culturelle ont fini par annoncer qu’ils ne pourraient plus poursuivre leurs activités, du moins pour un temps.
“L’un des plus grands salons du livre d’Écosse vient d’être annulé” a rapporté le magazine Holyrood au fin mars, après que le festival Aye Write, qui a lieu chaque année à Glasgow depuis près de vingt ans, a annoncé qu’il ne pourrait pas tenir son édition 2024. Creative Scotland, l’organisme public chargé des subventions du secteur, a en effet refusé la demande de fonds de l’événement.
Si cette annonce a été particulièrement reprise et commentée par les médias écossais – la conseillère municipale Susan Aitken (Scottish National Party) a notamment déclaré “amèrement déçu” par cette nouvelle dans les pages de Horaires de Glasgow -, Elle
Le secteur culturel écossais, qui peinait déjà à se remettre de la pandémie de Covid, est confronté à des difficultés croissantes ces dernières semaines. Confrontés à d’importants défis financiers, plusieurs événements ou acteurs de la scène artistique et culturelle ont fini par annoncer qu’ils ne pourraient plus poursuivre leurs activités, du moins pour un temps.
“L’un des plus grands salons du livre d’Écosse vient d’être annulé” a rapporté le magazine Holyrood au fin mars, après que le festival Aye Write, qui a lieu chaque année à Glasgow depuis près de vingt ans, a annoncé qu’il ne pourrait pas tenir son édition 2024. Creative Scotland, l’organisme public chargé des subventions du secteur, a en effet refusé la demande de fonds de l’événement.
Si cette annonce a été particulièrement reprise et commentée par les médias écossais – la conseillère municipale Susan Aitken (Scottish National Party) a notamment déclaré “amèrement déçu” par cette nouvelle dans les pages de Horaires de Glasgow -, Elle