José Luis Escriva réalise, à première vue, « tous les critères d’éligibilité imposés par la loi » pour gouverner la Banque d’Espagne, à savoir « être espagnol, majeur et avoir des compétences reconnues dans le domaine économique », liste Le Pays, Quotidien socialiste de Madrid. Escrivá est un « un bon économiste avec une excellente trajectoire marquée, comme c’est le cas pour tout le monde, par ses succès et ses échecs », admet pour sa part le journal conservateur La raison.
Originaire d’Albacete (Castille-La Manche), aujourd’hui âgé de 63 ans, il a débuté sa carrière à la Banque centrale espagnole. Il a ensuite occupé plusieurs postes à responsabilité, comme son passage à la tête d’Airef, l’autorité indépendante de contrôle des comptes publics espagnols, entre 2014 et 2020.
Le gouvernement du Premier ministre socialiste Pedro Sánchez s’est donc naturellement tourné vers lui pour diriger la Banque d’Espagne. « décision controversée », encore un commentaire Le pays, DONC que le ministre de l’Économie, Carlos Cuerpo, a défendu cette
José Luis Escriva réalise, à première vue, « tous les critères d’éligibilité imposés par la loi » pour gouverner la Banque d’Espagne, à savoir « être espagnol, majeur et avoir des compétences reconnues dans le domaine économique », liste Le Pays, Quotidien socialiste de Madrid. Escrivá est un « un bon économiste avec une excellente trajectoire marquée, comme c’est le cas pour tout le monde, par ses succès et ses échecs », admet pour sa part le journal conservateur La raison.
Originaire d’Albacete (Castille-La Manche), aujourd’hui âgé de 63 ans, il a débuté sa carrière à la Banque centrale espagnole. Il a ensuite occupé plusieurs postes à responsabilité, comme son passage à la tête d’Airef, l’autorité indépendante de contrôle des comptes publics espagnols, entre 2014 et 2020.
Le gouvernement du Premier ministre socialiste Pedro Sánchez s’est donc naturellement tourné vers lui pour diriger la Banque d’Espagne. « décision controversée », encore un commentaire Le pays, DONC que le ministre de l’Économie, Carlos Cuerpo, a défendu cette