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Durée de la vidéo : 3 minutes
Reporters sans frontières a dĂ©voilĂ© vendredi 3 mai son classement mondial de la libertĂ© de la presse. Le chef du bureau Union europĂ©enne et Balkans de l’ONG, Pavol Szalai, fait la lumière sur la sĂ©rie d’informations du 13/11.
Reporters sans frontières publie vendredi 3 mai son classement annuel de la libertĂ© de la presse. L’Argentine perd 26 places. “Le prĂ©sident argentin Milei a dĂ©cidĂ© de fermer du jour au lendemain l’agence de presse nationale.rapporte Pavol Szalai, responsable du bureau Union europĂ©enne et Balkans Ă Reporters sans frontières, qui rappelle qu’un prĂ©sident “ne peut pas dĂ©cider de l’existence de mĂ©dias publics sous des prĂ©textes politiques.
En Norvège, en revanche, pays en tĂŞte du classement, « L’indĂ©pendance des mĂ©dias est sacrĂ©e ». “Le gouvernement se garde bien d’intervenir, les mĂ©dias n’appartiennent pas Ă des oligarques ayant des intĂ©rĂŞts autres que ceux du secteur mĂ©diatique, les attaques verbales sont rarissimes. MĂŞme s’ils arrivent, ils sont immĂ©diatement condamnĂ©s. (…) C’est tout un système mĂ©diatique qui est très protĂ©gé», explique Pavol Szalai.
La France en 21ème position
La France se classe 21e sur 180 pays et 14e en Europe. “Il y a des problèmes qui persistent : l’indĂ©pendance de certains mĂ©dias privĂ©s, l’annĂ©e dernière nous avons eu l’arrestation et la perquisition de la journaliste Ariane Lavrilleux, une grave atteinte au secret des sources, et la situation est aussi compliquĂ©e du point de vue Ă©conomique des mĂ©dias en gĂ©nĂ©ral.“, explique Pavol Szalai.
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Reporters sans frontières a dĂ©voilĂ© vendredi 3 mai son classement mondial de la libertĂ© de la presse. Le chef du bureau Union europĂ©enne et Balkans de l’ONG, Pavol Szalai, fait la lumière sur la sĂ©rie d’informations du 13/11.
Reporters sans frontières publie vendredi 3 mai son classement annuel de la libertĂ© de la presse. L’Argentine perd 26 places. “Le prĂ©sident argentin Milei a dĂ©cidĂ© de fermer du jour au lendemain l’agence de presse nationale.rapporte Pavol Szalai, responsable du bureau Union europĂ©enne et Balkans Ă Reporters sans frontières, qui rappelle qu’un prĂ©sident “ne peut pas dĂ©cider de l’existence de mĂ©dias publics sous des prĂ©textes politiques.
En Norvège, en revanche, pays en tĂŞte du classement, « L’indĂ©pendance des mĂ©dias est sacrĂ©e ». “Le gouvernement se garde bien d’intervenir, les mĂ©dias n’appartiennent pas Ă des oligarques ayant des intĂ©rĂŞts autres que ceux du secteur mĂ©diatique, les attaques verbales sont rarissimes. MĂŞme s’ils arrivent, ils sont immĂ©diatement condamnĂ©s. (…) C’est tout un système mĂ©diatique qui est très protĂ©gé», explique Pavol Szalai.
La France en 21ème position
La France se classe 21e sur 180 pays et 14e en Europe. “Il y a des problèmes qui persistent : l’indĂ©pendance de certains mĂ©dias privĂ©s, l’annĂ©e dernière nous avons eu l’arrestation et la perquisition de la journaliste Ariane Lavrilleux, une grave atteinte au secret des sources, et la situation est aussi compliquĂ©e du point de vue Ă©conomique des mĂ©dias en gĂ©nĂ©ral.“, explique Pavol Szalai.