En Iran, six candidats, parmi les 80 qui se sont présentés, sont désormais en lice pour l’élection présidentielle anticipée prévue le 28 juin, après le décès d’Ebrahim Raïssi le 19 mai. Les « finalistes », parmi lesquels figurait un seul réformateur, étaient sélectionné par le Conseil des gardiens constitutionnels, un organe non élu à dominante conservatrice chargé de superviser le processus électoral du pays.
Les quatre candidats ont tous été disqualifiés par cette instance, considérée comme un obstacle majeur au renouveau de la vie politique. Depuis la création de la République islamique en 1979, aucune femme n’a pu se présenter à la présidentielle.
Pour le journal modéré Khorassan, “Chacun des candidats représente cependant un des courants politiques” majeure au sein du système. Le gouvernement a autorisé « une élection compétitive ».
Ainsi, le quotidien précise que le maire de Téhéran, Alireza Zakani, et le chef ultraconservateur de la Fondation des Martyrs, Amir Hossein Ghazizadeh Hashemi, sont en lice au nom du gouvernement sortant d’Ebrahim Raïssi, tandis que le religieux Mostafa Pourmohammadi, un ancien ministre de l’Intérieur, représente le courant modéré. Saïd Jalili, ancien négociateur ultraconservateur sur le nucléaire
En Iran, six candidats, parmi les 80 qui se sont présentés, sont désormais en lice pour l’élection présidentielle anticipée prévue le 28 juin, après le décès d’Ebrahim Raïssi le 19 mai. Les « finalistes », parmi lesquels figurait un seul réformateur, étaient sélectionné par le Conseil des gardiens constitutionnels, un organe non élu à dominante conservatrice chargé de superviser le processus électoral du pays.
Les quatre candidats ont tous été disqualifiés par cette instance, considérée comme un obstacle majeur au renouveau de la vie politique. Depuis la création de la République islamique en 1979, aucune femme n’a pu se présenter à la présidentielle.
Pour le journal modéré Khorassan, “Chacun des candidats représente cependant un des courants politiques” majeure au sein du système. Le gouvernement a autorisé « une élection compétitive ».
Ainsi, le quotidien précise que le maire de Téhéran, Alireza Zakani, et le chef ultraconservateur de la Fondation des Martyrs, Amir Hossein Ghazizadeh Hashemi, sont en lice au nom du gouvernement sortant d’Ebrahim Raïssi, tandis que le religieux Mostafa Pourmohammadi, un ancien ministre de l’Intérieur, représente le courant modéré. Saïd Jalili, ancien négociateur ultraconservateur sur le nucléaire