ISRAEL – C’est un symbole qui s’affiche depuis plusieurs mois dans les manifestations, sur les tapis rouges et même dans les tribunes des Jeux paralympiques de 2024 : le ruban jaune. Lié aux otages israéliens détenus par le Hamas, il était difficile de le manquer lors des manifestations qui ont eu lieu ce dimanche 1er septembre en Israël, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en haut de l’article.
Que ce soit sous forme de broches attachées à des vêtements, sous forme de pancarte ou entrelacé avec l’étoile de David sur le drapeau israélien, ce ruban jaune était partout à Jérusalem et à Tel-Aviv. Ce symbole provient de l’organisation « Ramenez-les à la maison maintenant » qui regroupe les proches des otages et qui n’a cessé de réclamer que tout soit fait pour leur libération.
Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans les rues après que les corps de six otages tués par le Hamas ont été retrouvés par l’armée israélienne. Un choc pour la population venue exprimer sa colère contre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son gouvernement, qu’elle juge responsables de cette tragédie. Les manifestants veulent forcer le gouvernement à trouver un accord pour libérer les otages.
Un mouvement de grève a également débuté ce lundi dans le pays à l’appel de la puissante centrale syndicale Histadrut, dans le but d’accroître la pression sur le gouvernement pour obtenir la libération des otages détenus à Gaza.
Dans l’attaque sans précédent du Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre, 251 personnes ont été enlevées : 97 sont toujours détenues à Gaza, dont 33 déclarées mortes par l’armée. Cette attaque a également entraîné la mort de 1.205 Israéliens, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Côté gazaoui, le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a annoncé lundi un nouveau bilan de 40.786 morts, depuis le début des représailles israéliennes.
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Que ce soit sous forme de broches attachées à des vêtements, sous forme de pancarte ou entrelacé avec l’étoile de David sur le drapeau israélien, ce ruban jaune était partout à Jérusalem et à Tel-Aviv. Ce symbole provient de l’organisation « Ramenez-les à la maison maintenant » qui regroupe les proches des otages et qui n’a cessé de réclamer que tout soit fait pour leur libération.
Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans les rues après que les corps de six otages tués par le Hamas ont été retrouvés par l’armée israélienne. Un choc pour la population venue exprimer sa colère contre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son gouvernement, qu’elle juge responsables de cette tragédie. Les manifestants veulent forcer le gouvernement à trouver un accord pour libérer les otages.
Un mouvement de grève a également débuté ce lundi dans le pays à l’appel de la puissante centrale syndicale Histadrut, dans le but d’accroître la pression sur le gouvernement pour obtenir la libération des otages détenus à Gaza.
Dans l’attaque sans précédent du Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre, 251 personnes ont été enlevées : 97 sont toujours détenues à Gaza, dont 33 déclarées mortes par l’armée. Cette attaque a également entraîné la mort de 1.205 Israéliens, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Côté gazaoui, le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a annoncé lundi un nouveau bilan de 40.786 morts, depuis le début des représailles israéliennes.
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