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Durée de la vidéo : 2 minutes
Patrick Fiori, 54 ans, est en tournée dans toute la France pour présenter son nouvel album. 60 dates sont programmées, signe d’une popularité intacte. Rencontre.
Patrick Fiori, arrivé d’Ajaccio (Corse du Sud) où il réside, a retrouvé les trois musiciens qui l’accompagnaient sur scène. Et comment travaille-t-il sa voix ? « Pour un tour, comme un sportif de haut niveau. Je fais attention à ce que je mange avant de chanter, j’échauffe ma voix”confie-t-il, avouant aussi avoir quelques “secrets de grand-mères”.
La Corse, son mouillage
Sur scène, Patrick Fiori affirme avoir « une frayeur assez impressionnante »Et ça “toujours”. “Le sentiment que j’ai vraiment, très profond, c’est que je vais chanter pour la première fois”, confie le chanteur. D’origine arménienne et corse, il dit avoir des racines « planté dans de nombreux endroits ». « Dans la chambre de fortune où nous étions cinq enfants, ma mère nous chantait des chansons corses pour nous endormir la nuit », raconte Patrick Fiori, très attaché à son île, qu’il aurait du mal à quitter. “Si je suis obligé, oui… Mais non”il glisse.
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Patrick Fiori, 54 ans, est en tournée dans toute la France pour présenter son nouvel album. 60 dates sont programmées, signe d’une popularité intacte. Rencontre.
Patrick Fiori, arrivé d’Ajaccio (Corse du Sud) où il réside, a retrouvé les trois musiciens qui l’accompagnaient sur scène. Et comment travaille-t-il sa voix ? « Pour un tour, comme un sportif de haut niveau. Je fais attention à ce que je mange avant de chanter, j’échauffe ma voix”confie-t-il, avouant aussi avoir quelques “secrets de grand-mères”.
La Corse, son mouillage
Sur scène, Patrick Fiori affirme avoir « une frayeur assez impressionnante »Et ça “toujours”. “Le sentiment que j’ai vraiment, très profond, c’est que je vais chanter pour la première fois”, confie le chanteur. D’origine arménienne et corse, il dit avoir des racines « planté dans de nombreux endroits ». « Dans la chambre de fortune où nous étions cinq enfants, ma mère nous chantait des chansons corses pour nous endormir la nuit », raconte Patrick Fiori, très attaché à son île, qu’il aurait du mal à quitter. “Si je suis obligé, oui… Mais non”il glisse.