« The Economist » décrit le lourd tribut payé dans la guerre par les agriculteurs ukrainiens, victimes des mines et munitions non explosées laissées dans les champs par l’armée russe. Face à l’ampleur de la tâche, les démineurs clandestins proposent leurs services en baissant les prix, en utilisant des méthodes artisanales qui mettent leurs clients en danger.