Samedi 7 septembre, « Onze mois jour pour jour après le samedi noir » (les massacres commis en Israël le 7 octobre 2023 par le Hamas palestinien), « Près de 400 000 manifestants se sont rassemblés devant la porte Begin (du nom de Menahem Begin, premier Premier ministre issu du parti Likoud) », face à la Kirya, un quartier situé au cœur de Tel Aviv et considéré comme l’équivalent israélien du Pentagone américain, rapporte Ilana Curiel dans Yediot Aharonot.
Pendant la manifestation, « le plus imposant de l’histoire d’Israël », Einav Zangauker, mère d’un otage israélien, a crié : « Tant que Benjamin Netanyahu restera au pouvoir, nos proches continueront de revenir dans des sacs mortuaires. »
Au milieu d’une mer de drapeaux israéliens et de rubans jaunes, les manifestants ont scandé « Maintenant ! Maintenant ! » pour exiger que le gouvernement parvienne à un cessez-le-feu avec le Hamas afin de libérer les otages restants. « Nous les voulons vivants ! » pouvait-on encore lire sur les pancartes brandies par les manifestants.
La répression se durcit
Des manifestations quasi quotidiennes
Samedi 7 septembre, « Onze mois jour pour jour après le samedi noir » (les massacres commis en Israël le 7 octobre 2023 par le Hamas palestinien), « Près de 400 000 manifestants se sont rassemblés devant la porte Begin (du nom de Menahem Begin, premier Premier ministre issu du parti Likoud) », face à la Kirya, un quartier situé au cœur de Tel Aviv et considéré comme l’équivalent israélien du Pentagone américain, rapporte Ilana Curiel dans Yediot Aharonot.
Pendant la manifestation, « le plus imposant de l’histoire d’Israël », Einav Zangauker, mère d’un otage israélien, a crié : « Tant que Benjamin Netanyahu restera au pouvoir, nos proches continueront de revenir dans des sacs mortuaires. »
Au milieu d’une mer de drapeaux israéliens et de rubans jaunes, les manifestants ont scandé « Maintenant ! Maintenant ! » pour exiger que le gouvernement parvienne à un cessez-le-feu avec le Hamas afin de libérer les otages restants. « Nous les voulons vivants ! » pouvait-on encore lire sur les pancartes brandies par les manifestants.
La répression se durcit
Des manifestations quasi quotidiennes