FCGB : L’espoir existe, le grand sauveur de Bordeaux identifié

Les Girondins de Bordeaux sont en grand danger. Le club au scapulaire est en effet menacé de relégation administrative en raison de ses finances précaires.

Alerte Monument en danger. Les Girondins de Bordeaux pourraient quitter le monde professionnel dans les prochaines heures. Gérard Lopez doit trouver très vite un nouvel investisseur, sinon Bordeaux sera laissé en National, en N2, voire pire. Les fans et observateurs bordelais retiennent donc leur souffle. Tout semble encore possible. Et peut-être que dans les prochaines heures, certains anciens joueurs se manifesteront pour sauver les Girondins de Bordeaux. Nul doute qu’un projet solide pourrait en charmer plus d’un. Selon Benoit Trémoulinas, Marc Planus aurait le profil parfait pour être le nouvel homme fort d’un projet au FCGB.

Planus à Bordeaux, Trémoulinas en rêves

Au cours de quelques mots échangés avec Web GirondinsL’ancien défenseur a en effet lancé un appel à son ancien coéquipier, tout en vantant ses mérites. Il affirme également qu’il est prêt à s’investir pour son club de cœur. Bien sûr que je serais intéressé pour m’impliquer dans le club. A l’époque où Frédéric Longuépée était président, mon nom a été proposé, mais il a refusé. Ce n’était pas une question financière, mais je voulais quand même le faire. (…) Il nous faut d’autres légendes du club. Avec l’expérience que j’ai eue aux Girondins, j’aurais adoré travailler avec Marc Planus. Il connaît bien le club. Il a beaucoup de recul sur le football. Tout ce qu’il dit et ce qu’il pense est concret, vrai.

J’aimerais faire des choses avec lui. Avec les anciens joueurs, on a rigolé et on lui a dit : Marc, tu es fait pour devenir président des Girondins de Bordeaux. On l’a dit en plaisantant, mais on le pensait vraiment. Il est tellement humble et connaît tellement bien le club qu’il serait la personne idéale en cas de reprise et qu’il faudrait intégrer quelqu’un “, a déclaré Benoit Trémoulinas, qui ne veut pas penser un seul instant que Bordeaux puisse cesser d’exister. Reste à savoir si son appel sera désormais entendu.