Le groupe Tek Mao. Parce qu’ils ont permis aux sexagénaires et aux jeunes de danser, petits doigts entrelacés, sur de la techno. Une ambiance électrique.
Le Quai Gourmand. Parce que nous avons pu (re)goûter des spécialités bretonnes.
Les jeunes, très jeunes même, danseurs des cercles celtiques. Ils n’ont pas eu peur de mettre les pieds dans l’eau samedi pour animer le centre-ville.
Le Off du Cornouaille. Qui s’est considérablement agrandi cette année, que ce soit avec la discothèque à ciel ouvert du côté du café-restaurant Le Bretagne, la grande scène de la rue Aristide-Briand devant le bar Finnegans et l’incontournable festival dans le festival devant le pub Ceili. Petit clin d’œil au DJ Celélé qui a enflammé la rue Aristide Briand.
Le soleil. Trois jours de beau temps sur les quatre du festival, c’était presque du luxe en terme de météo pour cette édition. Il fallait un peu de pluie pour ajouter de la couleur locale, dommage, elle est tombée sur les enfants.
Nous avons moins aimé
Les toilettes. Comment ne pas souligner le manque cruel de toilettes et de points d’eau sur le site du festival ? D’autant que le soleil tapait fort les deux premiers jours.
Les longues files d’attente devant les tribunes. Bon, c’est un peu le revers de la médaille. Une crêpe ou une galette saucisse, ça se mérite. Une ou deux tribunes de plus sur les quais n’auraient pas été un luxe.
L’absence de tête d’affiche. Le choix d’économiser pour renflouer le festival est compréhensible, mais on reste tout de même nostalgique d’une tête d’affiche, hors fest-noz, sur la scène de la Place de la Résistance.
2 mois ago
Anna
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