jeIl se jette dans la mêlée. Discret depuis le séisme de la dissolution de l’Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron après la débâcle de la majorité aux élections européennes, Gabriel Attal a annoncé sur TF1 qu’il allait mener la bataille législative. «Oui, je mènerai cette campagne en tant que leader de la majorité», a répondu le premier ministre à Gilles Bouleau.
Un peu plus tôt, Gabriel Attal avait estimé devant les députés de Renaissance qu’il s’agissait d’une décision « soudaine » et « brutale » d’Emmanuel Macron, assurant toutefois qu’il irait « jusqu’au bout de (son) devoir » de Premier ministre pour « éviter le pire » face à l’extrême droite lors des élections législatives du 30 juin et du 7 juillet.
LIRE AUSSI Dissolution : l’histoire secrète d’une décision historiqueSur TF1, Gabriel Attal n’a pas confirmé avoir utilisé le terme “brutal”. Il a justifié la décision du président par deux raisons : « pour éviter les risques d’asphyxie et d’impuissance politique qui existaient entre le chaos et le désordre » de l’extrême gauche et de l’extrême droite, et parce que « nous avons perdu les élections européennes ». avait totalisé près de 50%, il a répété qu’Emmanuel Macron souhaitait « redonner la voix aux Français pour l’avenir du pays ».
Comment éviter un désastre aux législatives après avoir obtenu moins de 15% aux élections européennes ? Pour Gabriel Attal, ces élections “sont très différentes”, avec “38 listes (…) Lire la suite
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