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Durée de la vidéo : 5 minutes
Le 13 Heures poursuit sa route à bord du Belem, le voilier qui transporte la flamme olympique jusqu’en France. Mardi 30 avril, les trois gardiens de la flamme sont à l’honneur. Ils sont chargés de veiller sur elle à tout moment.
Sur Belém, les trois gardiens de la flamme olympique, chargés de veiller à ce qu’elle ne s’éteigne jamais, organisent des sorties sur le pont plusieurs fois par jour. Les membres de l’équipage peuvent donc croiser la flamme, par exemple en préparant à manger ou en hissant les voiles. Lorsqu’elle bouge, la lanterne est protégée du vent par un bouclier supplémentaire, un caisson en plexiglas.
Plusieurs lanternes de secours
Dans l’après-midi du lundi 29 avril, les marins ont suivi un cours particulier sur la manière de recharger la flamme. Pour que le feu brûle continuellement, il faut l’entretenir avec du combustible. De plus, il y a une deuxième lanterne de secours à bord. Si malheureusement le Belem a coulé, deux autres lanternes de secours sont déjà rentrées en France par avion, prêtes à prendre le relais. François Blaizot-Bonnemains, l’un des gardiens de la flamme, explique avoir suivi plusieurs formations au cours de l’année. Les gardes ont été choisis par l’armée et la sécurité civile. Le Belem arrivera à Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 mai, et la lanterne redeviendra alors une torche.
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Le 13 Heures poursuit sa route à bord du Belem, le voilier qui transporte la flamme olympique jusqu’en France. Mardi 30 avril, les trois gardiens de la flamme sont à l’honneur. Ils sont chargés de veiller sur elle à tout moment.
Sur Belém, les trois gardiens de la flamme olympique, chargés de veiller à ce qu’elle ne s’éteigne jamais, organisent des sorties sur le pont plusieurs fois par jour. Les membres de l’équipage peuvent donc croiser la flamme, par exemple en préparant à manger ou en hissant les voiles. Lorsqu’elle bouge, la lanterne est protégée du vent par un bouclier supplémentaire, un caisson en plexiglas.
Plusieurs lanternes de secours
Dans l’après-midi du lundi 29 avril, les marins ont suivi un cours particulier sur la manière de recharger la flamme. Pour que le feu brûle continuellement, il faut l’entretenir avec du combustible. De plus, il y a une deuxième lanterne de secours à bord. Si malheureusement le Belem a coulé, deux autres lanternes de secours sont déjà rentrées en France par avion, prêtes à prendre le relais. François Blaizot-Bonnemains, l’un des gardiens de la flamme, explique avoir suivi plusieurs formations au cours de l’année. Les gardes ont été choisis par l’armée et la sécurité civile. Le Belem arrivera à Marseille (Bouches-du-Rhône) le 8 mai, et la lanterne redeviendra alors une torche.