Mené de deux buts à moins d’un quart d’heure de la fin, l’Olympique Lyonnais a tout gagné pour remporter la demi-finale aller (3-2).
Six minutes pour renverser la situation : mené de deux buts, l’OL féminin, soutenu par le Groupama Stadium, a renversé le PSG (3-2) en toute fin de match, samedi, en demi-finale aller de Ligue des champions. Alors que le PSG contrôlait tout et menait facilement grâce à un doublé de Marie-Antoinette Katoto, les joueurs de Jocelyn Prêcheur s’effondrent en toute fin de match et en six minutes. Cette septième confrontation entre les deux clubs rivaux en Ligue des champions (quatre qualifications ou deux victoires pour l’OL) marquera les esprits, et promet un match retour plein de suspense.
Samedi au Groupama Stadium de Lyon, devant 35 000 personnes, dont l’actuelle coach de l’OL Michelle Kang et l’ancien Jean-Michel Aulas, les Lyonnaises ont puni leurs meilleures ennemies, qui avaient tout bien fait – jusqu’aux dix dernières minutes. Sérieuses en défense jusque-là, et grâce à la gardienne française Constance Picaud, solide et qui a sauvé les siennes à plusieurs reprises (24e, 29e, 39e, 60e), elles se sont effondrées en six minutes. A l’inverse, les Lyonnaises ont d’abord sonné la révolte grâce à l’ancienne Parisienne Kadidiatou Diani au terme d’une bonne phase de jeu (2-1, 80e), avant que Melchie Dumornay n’égalise d’une frappe puissante (2-2, 84e) et Amel Majri, tout juste rentrée. , assomme le PSG (3-2, 86e).
Retour au parc dimanche
Avant de s’effondrer face à la fronde lyonnaise et à la pression du public, les Parisiennes ont ouvert le score grâce à Marie-Antoinette Katoto (43e). En longue jambe et efficace techniquement, notamment sur sa protection du ballon dos au but, la star française « MAK » a doublé la mise au retour des vestiaires (48e). Ce sont les 6e et 7e buts en Ligue des champions cette saison pour Katoto, qui revient en forme au moment idéal après avoir reconnu fin mars “un gros revers physique” suite à sa grave blessure au genou l’an dernier. Comme un symbole, le PSG a sombré suite à la sortie de Katoto (74e), véritable leader jusque-là.
Toujours en lice pour réaliser un triple championnat, Coupe de France, Ligue des Champions – comme leurs homologues masculins – les Parisiennes ont abandonné face à l’expérience des Lyonnaises, huit fois championnes d’Europe et actuellement en tête de la D1 avant les barrages. , mais privés de leurs dirigeantes Eugénie Le Sommer et Ada Hegerberg, blessées. La route vers Bilbao pour la finale reprend au Parc des Princes dimanche prochain (16 heures).
Mené de deux buts à moins d’un quart d’heure de la fin, l’Olympique Lyonnais a tout gagné pour remporter la demi-finale aller (3-2).
Six minutes pour renverser la situation : mené de deux buts, l’OL féminin, soutenu par le Groupama Stadium, a renversé le PSG (3-2) en toute fin de match, samedi, en demi-finale aller de Ligue des champions. Alors que le PSG contrôlait tout et menait facilement grâce à un doublé de Marie-Antoinette Katoto, les joueurs de Jocelyn Prêcheur s’effondrent en toute fin de match et en six minutes. Cette septième confrontation entre les deux clubs rivaux en Ligue des champions (quatre qualifications ou deux victoires pour l’OL) marquera les esprits, et promet un match retour plein de suspense.
Samedi au Groupama Stadium de Lyon, devant 35 000 personnes, dont l’actuelle coach de l’OL Michelle Kang et l’ancien Jean-Michel Aulas, les Lyonnaises ont puni leurs meilleures ennemies, qui avaient tout bien fait – jusqu’aux dix dernières minutes. Sérieuses en défense jusque-là, et grâce à la gardienne française Constance Picaud, solide et qui a sauvé les siennes à plusieurs reprises (24e, 29e, 39e, 60e), elles se sont effondrées en six minutes. A l’inverse, les Lyonnaises ont d’abord sonné la révolte grâce à l’ancienne Parisienne Kadidiatou Diani au terme d’une bonne phase de jeu (2-1, 80e), avant que Melchie Dumornay n’égalise d’une frappe puissante (2-2, 84e) et Amel Majri, tout juste rentrée. , assomme le PSG (3-2, 86e).
Retour au parc dimanche
Avant de s’effondrer face à la fronde lyonnaise et à la pression du public, les Parisiennes ont ouvert le score grâce à Marie-Antoinette Katoto (43e). En longue jambe et efficace techniquement, notamment sur sa protection du ballon dos au but, la star française « MAK » a doublé la mise au retour des vestiaires (48e). Ce sont les 6e et 7e buts en Ligue des champions cette saison pour Katoto, qui revient en forme au moment idéal après avoir reconnu fin mars “un gros revers physique” suite à sa grave blessure au genou l’an dernier. Comme un symbole, le PSG a sombré suite à la sortie de Katoto (74e), véritable leader jusque-là.
Toujours en lice pour réaliser un triple championnat, Coupe de France, Ligue des Champions – comme leurs homologues masculins – les Parisiennes ont abandonné face à l’expérience des Lyonnaises, huit fois championnes d’Europe et actuellement en tête de la D1 avant les barrages. , mais privés de leurs dirigeantes Eugénie Le Sommer et Ada Hegerberg, blessées. La route vers Bilbao pour la finale reprend au Parc des Princes dimanche prochain (16 heures).