L’information a été révélée par le ministre de la Défense de l’État hébreu, Yoav Gallant, qui a partagé ces quelques mots, relayés par Le temps d’Israël : « La moitié des commandants du Hezbollah au Sud-Liban ont été éliminés… Et l’autre moitié se cache et abandonne le Sud-Liban aux opérations de l’armée israélienne. »
C’est ainsi que Gallant a commenté les résultats de l’action de Tsahal, mercredi 24 avril. Une opération militaire qui consistait, selon le site d’information israélien, à «une grande vague de frappes contre des dizaines de sites appartenant au Hezbollah », alors que, depuis le 7 octobre, les échanges de tirs entre l’État hébreu et les organisations paramilitaires et politiques chiites établies au Liban (et classées comme terroristes par Israël, les États-Unis et plusieurs pays européens) sont permanentes.
« Ramener des milliers d’Israéliens chez eux »
Dans cette optique, Gallant « a déclaré que l’objectif principal de cette opération était de ramener chez eux des dizaines de milliers d’Israéliens déplacés par les attaques quotidiennes du Hezbollah », rapporte le média de Jérusalem. Un objectif poursuivi à travers une attaque menée “par des avions de chasse et des tirs d’artillerie qui ont permis de toucher 40 cibles du Hezbollah dans la ville d’Aïta ash-Chab”, précise encore le média anglophone.
“Depuis le 8 octobre, au lendemain du début de la guerre entre Israël et le Hamas, le Hezbollah mène des attaques quasi quotidiennes contre l’Etat hébreu pour soutenir son allié”, Hamas, de son côté, contextualise les médias de Beyrouth L’Orient-Le Jour. L’armée israélienne répond en bombardant de plus en plus profondément le territoire libanais et en menant des attaques ciblées contre les responsables du Hezbollah. Pour quels résultats ?
Concernant l’attaque de Tsahal le 24 avril, Le Poste de Jérusalem je voudrais clarifier que « la moitié des commandants du Hezbollah au sud du Liban » éliminé selon Gallant serait « des commandants de brigade et non des commandants de bataillon (qui est un niveau militaire inférieur) ».
Selon le quotidien israélien, le groupe chiite compte « entre 10 et 15 commandants de brigade », pour les nombres totaux estimés “entre 50 000 et 100 000 combattants”, dont “6 000 hommes appartenant à sa force d’élite Radwan, qui se trouvait au sud du Liban au début de la guerre.”
L’information a été révélée par le ministre de la Défense de l’État hébreu, Yoav Gallant, qui a partagé ces quelques mots, relayés par Le temps d’Israël : « La moitié des commandants du Hezbollah au Sud-Liban ont été éliminés… Et l’autre moitié se cache et abandonne le Sud-Liban aux opérations de l’armée israélienne. »
C’est ainsi que Gallant a commenté les résultats de l’action de Tsahal, mercredi 24 avril. Une opération militaire qui consistait, selon le site d’information israélien, à «une grande vague de frappes contre des dizaines de sites appartenant au Hezbollah », alors que, depuis le 7 octobre, les échanges de tirs entre l’État hébreu et les organisations paramilitaires et politiques chiites établies au Liban (et classées comme terroristes par Israël, les États-Unis et plusieurs pays européens) sont permanentes.
« Ramener des milliers d’Israéliens chez eux »
Dans cette optique, Gallant « a déclaré que l’objectif principal de cette opération était de ramener chez eux des dizaines de milliers d’Israéliens déplacés par les attaques quotidiennes du Hezbollah », rapporte le média de Jérusalem. Un objectif poursuivi à travers une attaque menée “par des avions de chasse et des tirs d’artillerie qui ont permis de toucher 40 cibles du Hezbollah dans la ville d’Aïta ash-Chab”, précise encore le média anglophone.
“Depuis le 8 octobre, au lendemain du début de la guerre entre Israël et le Hamas, le Hezbollah mène des attaques quasi quotidiennes contre l’Etat hébreu pour soutenir son allié”, Hamas, de son côté, contextualise les médias de Beyrouth L’Orient-Le Jour. L’armée israélienne répond en bombardant de plus en plus profondément le territoire libanais et en menant des attaques ciblées contre les responsables du Hezbollah. Pour quels résultats ?
Concernant l’attaque de Tsahal le 24 avril, Le Poste de Jérusalem je voudrais clarifier que « la moitié des commandants du Hezbollah au sud du Liban » éliminé selon Gallant serait « des commandants de brigade et non des commandants de bataillon (qui est un niveau militaire inférieur) ».
Selon le quotidien israélien, le groupe chiite compte « entre 10 et 15 commandants de brigade », pour les nombres totaux estimés “entre 50 000 et 100 000 combattants”, dont “6 000 hommes appartenant à sa force d’élite Radwan, qui se trouvait au sud du Liban au début de la guerre.”