« La réponse de Tel Aviv aux représailles iraniennes de samedi soir est imminente » note le quotidien libanais L’Orient-Le Jour. S’exprimant lundi 15 avril depuis la base aérienne de Nevatim, endommagée lors de l’attaque sans précédent de Téhéran contre Israël, le chef d’état-major de l’armée, Herzi Halevi, a promis un “représailles” de la part de l’État hébreu, rapporte le Temps d’Israël. Cette attaque perpétrée par l’Iran le 13 avril faisait suite à celle, par les forces israéliennes, de l’ambassade iranienne à Damas.
Selon une source proche du dossier qui s’est entretenue avec Washington Post, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aurait demandé à Tsahal de lui fournir une liste de cibles potentielles. Toujours selon cette source, Israël envisage des représailles dont le but serait de“envoyer un message” mais “ce qui ne ferait pas de victimes”. Parmi les options sur la table : “une grève contre un site à Téhéran” Ou « une cyberattaque ». “Tout le monde est d’accord” dans le gouvernement israélien “sur le fait qu’Israël doit réagir”, a déclaré le responsable proche du dossier. “Comment répondre, quand répondre, telle est la question.”
« Pression internationale considérable sur Israël » néanmoins des risques“affecter la décision” de l’Etat hébreu, a indiqué une autre source proche du dossier au quotidien israélien Ha’Aretz.
Depuis dimanche, les appels se multiplient à travers le monde pour empêcher une réponse massive qui pourrait embraser la région, déjà “au bord du précipice”selon le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
« Toute action entreprise contre l’Iran a le pouvoir de redéfinir l’avenir des relations israélo-iraniennes, modifiant potentiellement les alignements régionaux et affectant les relations diplomatiques mondiales. » analyser le Poste de Jérusalem. Les discussions d’aujourd’huiIl ne s’agit pas seulement de la manière dont Israël devrait réagir, mais aussi de la manière dont il risque de façonner le paysage politique du Moyen-Orient dans les années à venir.
« La fenêtre d’opportunité pour attaquer l’Iran se fermera dans quelques jours »
Le président américain Joe Biden, allié le plus puissant d’Israël, a assuré lundi vouloir éviter une escalade après avoir prévenu dimanche que Washington ne participerait pas à une opération de représailles contre Téhéran. « Ensemble, avec nos partenaires, nous avons vaincu cette attaque » Iranien, a affirmé le président démocrate, tout en affirmant qu’il travaillait « en faveur d’un cessez-le-feu » à Gaza, « qui ramènera les otages chez eux et empêchera le conflit de s’étendre ».
« S’il existe une fenêtre d’opportunité pour attaquer l’Iran, elle se fermera d’ici quelques jours, sous la pression de l’administration américaine. » souligne le responsable israélien qui s’est entretenu avec Ha’Aretz.
Ces dernières heures, Washington a accéléré ses efforts pour dissuader son allié israélien de riposter, rapporte L’Orient-Le Jour. « Cela constituera un test majeur pour la capacité de Biden à persuader Israël de faire preuve de retenue. » analyse le chercheur Hussein Ibish, interrogé par le quotidien libanais. « Les États-Unis ont une influence considérable sur Israël, mais en fin de compte, Israël fait ce qu’il veut. » conclut-il.
« La réponse de Tel Aviv aux représailles iraniennes de samedi soir est imminente » note le quotidien libanais L’Orient-Le Jour. S’exprimant lundi 15 avril depuis la base aérienne de Nevatim, endommagée lors de l’attaque sans précédent de Téhéran contre Israël, le chef d’état-major de l’armée, Herzi Halevi, a promis un “représailles” de la part de l’État hébreu, rapporte le Temps d’Israël. Cette attaque perpétrée par l’Iran le 13 avril faisait suite à celle, par les forces israéliennes, de l’ambassade iranienne à Damas.
Selon une source proche du dossier qui s’est entretenue avec Washington Post, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aurait demandé à Tsahal de lui fournir une liste de cibles potentielles. Toujours selon cette source, Israël envisage des représailles dont le but serait de“envoyer un message” mais “ce qui ne ferait pas de victimes”. Parmi les options sur la table : “une grève contre un site à Téhéran” Ou « une cyberattaque ». “Tout le monde est d’accord” dans le gouvernement israélien “sur le fait qu’Israël doit réagir”, a déclaré le responsable proche du dossier. “Comment répondre, quand répondre, telle est la question.”
« Pression internationale considérable sur Israël » néanmoins des risques“affecter la décision” de l’Etat hébreu, a indiqué une autre source proche du dossier au quotidien israélien Ha’Aretz.
Depuis dimanche, les appels se multiplient à travers le monde pour empêcher une réponse massive qui pourrait embraser la région, déjà “au bord du précipice”selon le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
« Toute action entreprise contre l’Iran a le pouvoir de redéfinir l’avenir des relations israélo-iraniennes, modifiant potentiellement les alignements régionaux et affectant les relations diplomatiques mondiales. » analyser le Poste de Jérusalem. Les discussions d’aujourd’huiIl ne s’agit pas seulement de la manière dont Israël devrait réagir, mais aussi de la manière dont il risque de façonner le paysage politique du Moyen-Orient dans les années à venir.
« La fenêtre d’opportunité pour attaquer l’Iran se fermera dans quelques jours »
Le président américain Joe Biden, allié le plus puissant d’Israël, a assuré lundi vouloir éviter une escalade après avoir prévenu dimanche que Washington ne participerait pas à une opération de représailles contre Téhéran. « Ensemble, avec nos partenaires, nous avons vaincu cette attaque » Iranien, a affirmé le président démocrate, tout en affirmant qu’il travaillait « en faveur d’un cessez-le-feu » à Gaza, « qui ramènera les otages chez eux et empêchera le conflit de s’étendre ».
« S’il existe une fenêtre d’opportunité pour attaquer l’Iran, elle se fermera d’ici quelques jours, sous la pression de l’administration américaine. » souligne le responsable israélien qui s’est entretenu avec Ha’Aretz.
Ces dernières heures, Washington a accéléré ses efforts pour dissuader son allié israélien de riposter, rapporte L’Orient-Le Jour. « Cela constituera un test majeur pour la capacité de Biden à persuader Israël de faire preuve de retenue. » analyse le chercheur Hussein Ibish, interrogé par le quotidien libanais. « Les États-Unis ont une influence considérable sur Israël, mais en fin de compte, Israël fait ce qu’il veut. » conclut-il.