La politique italienne semble parfois être un éternel recommencement. Durant les années où Berlusconi était le leader incontesté de la droite italienne, tous les feuilletons judiciaires concernant le Cavaliere donnaient vie à un petit théâtre qui se répétait toujours à l’identique. La gauche dénonçait les malheurs du Premier ministre en lui demandant de se retirer de la politique, tandis que la droite pointait du doigt une justice partiale et politisée, les fameux « juges rouges ». Aujourd’hui, nous assistons plus ou moins aux mêmes scènes, avec toutefois un nouveau protagoniste : Matteo Salvini.
En fait, le vice-Premier ministre du gouvernement Meloni fait actuellement face à un procès dans lequel il est accusé, entre autres, d’avoir « séquestré » Les autorités italiennes ont tenté d’empêcher (temporairement) le débarquement en Italie du bateau de l’ONG Open Arms, avec 147 personnes à bord. Une affaire pour laquelle le parquet a requis une peine de six ans de prison, et qui remonte à la période où Salvini était ministre de l’Intérieur dans le gouvernement formé par le Mouvement 5 étoiles (antisystème) et la Ligue (extrême droite).
Le « capitaine », comme l’appellent ses partisans, a déjà organisé sa défense « médiatique » via une vidéo dans laquelle il
La politique italienne semble parfois être un éternel recommencement. Durant les années où Berlusconi était le leader incontesté de la droite italienne, tous les feuilletons judiciaires concernant le Cavaliere donnaient vie à un petit théâtre qui se répétait toujours à l’identique. La gauche dénonçait les malheurs du Premier ministre en lui demandant de se retirer de la politique, tandis que la droite pointait du doigt une justice partiale et politisée, les fameux « juges rouges ». Aujourd’hui, nous assistons plus ou moins aux mêmes scènes, avec toutefois un nouveau protagoniste : Matteo Salvini.
En fait, le vice-Premier ministre du gouvernement Meloni fait actuellement face à un procès dans lequel il est accusé, entre autres, d’avoir « séquestré » Les autorités italiennes ont tenté d’empêcher (temporairement) le débarquement en Italie du bateau de l’ONG Open Arms, avec 147 personnes à bord. Une affaire pour laquelle le parquet a requis une peine de six ans de prison, et qui remonte à la période où Salvini était ministre de l’Intérieur dans le gouvernement formé par le Mouvement 5 étoiles (antisystème) et la Ligue (extrême droite).
Le « capitaine », comme l’appellent ses partisans, a déjà organisé sa défense « médiatique » via une vidéo dans laquelle il