L’image choisie est classique. Le champion, les yeux fermés, embrasse son trophée. Le titre de la Corriere dello Sport, par contre, c’est beaucoup plus inspiré. « Un Martien parmi nous », écrit le quotidien de la capitale en première page, inspiré du titre de la célèbre nouvelle d’Ennio Flaiano, Un Martien à Rome.
Ici, il ne s’agit pas de raconter l’atterrissage d’un extraterrestre, mais plutôt de célébrer un joueur de tennis qui a vécu une « année 2024 extraordinaire, commencée au numéro 4 mondial, avant d’atteindre le numéro 1 mondial en juin ». Un parcours glorieux couronné par le triomphe à l’US Open, obtenu dimanche 8 septembre, grâce à une victoire en trois sets contre l’Américain Taylor Fritz (6-3, 6-4, 7-5).
Cette année, le pécheur martien « a remporté 55 matchs sur 60 joués », abonde le média sportif, qui rappelle que cet US Open est le deuxième tournoi du Grand Chelem remporté par le Sud-Tyrolien en 2024, après l’Open d’Australie en janvier.
L’ombre du dopage sur le tableau
Mais tout n’a pas été simple cette année pour Sinner, puisque l’Italien a été contrôlé positif à un produit dopant en mars. L’affaire a été rendue publique cet été, quelques semaines avant le début de l’US Open, lorsqu’on a découvert que l’Italien avait été contrôlé positif au clostebol, un stéroïde anabolisant, mais qu’il avait déjà été disculpé par un tribunal indépendant. Ce dernier a estimé que la contamination s’était produite de manière involontaire, par le biais d’un massage de son physiothérapeute.
UN « malchanceux cas de dopage », selon les mots de Corriere dello Sport, mais qui aurait “tourmenté” De quoi accroître encore le mérite du champion aux yeux des médias romains, qui ne semblent pas douter une seule seconde de l’innocence de son « Martien ».
L’image choisie est classique. Le champion, les yeux fermés, embrasse son trophée. Le titre de la Corriere dello Sport, par contre, c’est beaucoup plus inspiré. « Un Martien parmi nous », écrit le quotidien de la capitale en première page, inspiré du titre de la célèbre nouvelle d’Ennio Flaiano, Un Martien à Rome.
Ici, il ne s’agit pas de raconter l’atterrissage d’un extraterrestre, mais plutôt de célébrer un joueur de tennis qui a vécu une « année 2024 extraordinaire, commencée au numéro 4 mondial, avant d’atteindre le numéro 1 mondial en juin ». Un parcours glorieux couronné par le triomphe à l’US Open, obtenu dimanche 8 septembre, grâce à une victoire en trois sets contre l’Américain Taylor Fritz (6-3, 6-4, 7-5).
Cette année, le pécheur martien « a remporté 55 matchs sur 60 joués », abonde le média sportif, qui rappelle que cet US Open est le deuxième tournoi du Grand Chelem remporté par le Sud-Tyrolien en 2024, après l’Open d’Australie en janvier.
L’ombre du dopage sur le tableau
Mais tout n’a pas été simple cette année pour Sinner, puisque l’Italien a été contrôlé positif à un produit dopant en mars. L’affaire a été rendue publique cet été, quelques semaines avant le début de l’US Open, lorsqu’on a découvert que l’Italien avait été contrôlé positif au clostebol, un stéroïde anabolisant, mais qu’il avait déjà été disculpé par un tribunal indépendant. Ce dernier a estimé que la contamination s’était produite de manière involontaire, par le biais d’un massage de son physiothérapeute.
UN « malchanceux cas de dopage », selon les mots de Corriere dello Sport, mais qui aurait “tourmenté” De quoi accroître encore le mérite du champion aux yeux des médias romains, qui ne semblent pas douter une seule seconde de l’innocence de son « Martien ».