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Durée de la vidéo : 4 minutes
Écrivain et ami proche de Bernard Pivot, Erik Orsenna est l’invité de 20 Heures, lundi 6 mai.
Après avoir présenté des émissions culturelles pendant de nombreuses années, l’annonce du décès du journaliste Bernard Pivot a suscité l’émotion dans le milieu littéraire. Parmi eux, l’écrivain et académicien Erik Orsenna, invité de 20 Heures lundi 6 mai, qualifie le rôle de son ami de “compagnon”. “Il était tellement avide de vie, tellement avide d’êtres humains qu’il y avait un mot dont nous parlions ensemble”, il explique. Selon lui, c’est une personne « qui est attentif aux autres et qui est avide de tous ses semblables, quels qu’ils soient, quel que soit leur rôle ».
Un homme simple
Bernard Pivot était à la fois un homme simple et un travailleur acharné, comme nous le raconte Erik Orsenna. « Il avait lu tous ceux qui recevaient, ce qui lui permettait de passer de l’un à l’autre », se souvient-il. Le journaliste aimait « un peu de littérature et beaucoup de football, et puis beaucoup de vin ». L’annonce de son décès a particulièrement touché l’académicien, avec qui il partageait sa passion pour la littérature et la gastronomie. “C’est mon grand frère, je perds mon grand frère”, regrette-t-il.
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Écrivain et ami proche de Bernard Pivot, Erik Orsenna est l’invité de 20 Heures, lundi 6 mai.
Après avoir présenté des émissions culturelles pendant de nombreuses années, l’annonce du décès du journaliste Bernard Pivot a suscité l’émotion dans le milieu littéraire. Parmi eux, l’écrivain et académicien Erik Orsenna, invité de 20 Heures lundi 6 mai, qualifie le rôle de son ami de “compagnon”. “Il était tellement avide de vie, tellement avide d’êtres humains qu’il y avait un mot dont nous parlions ensemble”, il explique. Selon lui, c’est une personne « qui est attentif aux autres et qui est avide de tous ses semblables, quels qu’ils soient, quel que soit leur rôle ».
Un homme simple
Bernard Pivot était à la fois un homme simple et un travailleur acharné, comme nous le raconte Erik Orsenna. « Il avait lu tous ceux qui recevaient, ce qui lui permettait de passer de l’un à l’autre », se souvient-il. Le journaliste aimait « un peu de littérature et beaucoup de football, et puis beaucoup de vin ». L’annonce de son décès a particulièrement touché l’académicien, avec qui il partageait sa passion pour la littérature et la gastronomie. “C’est mon grand frère, je perds mon grand frère”, regrette-t-il.