Dans une interview accordée lundi au Parisien, celle qui accuse les deux joueurs du XV de France de viol a maintenu sa volonté de se battre pour son cas.
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Temps de lecture : 1 min
Près de trois mois après son agression, la plaignante qui accuse Oscar Jegou et Hugo Auradou de viol s’est exprimée devant la presse. Dans une interview accordée à parisien (article payant) publié le lundi 23 septembre, La femme de 39 ans, qui souhaite être identifiée comme « Maria », a insisté pour réaffirmer sa version des faits et a déclaré qu’elle continuerait à se battre pour être entendue. « Je veux qu’ils soient condamnés. Ils m’ont violée, maltraitée et traitée comme un morceau de viande. »elle affirme notamment.
La plaignante confie qu’elle le fera “faux” et cela « (sa) vie a pris fin le 7 juillet 2024 » : « Je suis démoralisée, angoissée. Je souffre de crises de panique, je fais des cauchemars toutes les nuits, je me réveille en pleurant et en criant. Je n’arrive plus à dormir. » Elle affirme que ses enfants sont “son seul moteur”, “la seule raison pour laquelle elle est toujours en vie”. C’est aussi la raison pour laquelle elle ne veut pas « ne pas révéler son identité » : « Je ne me sens pas encore prête à ce que mes enfants connaissent la vérité. »
La plaignante annonce également son intention de « présent devant la Commission des droits et garanties constitutionnelles de l’Assemblée législative de la province de Mendoza ». « Je veux que cette commission analyse la manière dont la justice a fonctionné »elle assure, affirmant de ne pas faire « confiance dans le ministère public de Mendoza »et pointant le « intérêts politiques dans l’affaire ». « Je me sens impuissant » parce que « Je ne peux pas lutter contre les moyens financiers de ces joueurs ».
Dans une interview accordée lundi au Parisien, celle qui accuse les deux joueurs du XV de France de viol a maintenu sa volonté de se battre pour son cas.
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Près de trois mois après son agression, la plaignante qui accuse Oscar Jegou et Hugo Auradou de viol s’est exprimée devant la presse. Dans une interview accordée à parisien (article payant) publié le lundi 23 septembre, La femme de 39 ans, qui souhaite être identifiée comme « Maria », a insisté pour réaffirmer sa version des faits et a déclaré qu’elle continuerait à se battre pour être entendue. « Je veux qu’ils soient condamnés. Ils m’ont violée, maltraitée et traitée comme un morceau de viande. »elle affirme notamment.
La plaignante confie qu’elle le fera “faux” et cela « (sa) vie a pris fin le 7 juillet 2024 » : « Je suis démoralisée, angoissée. Je souffre de crises de panique, je fais des cauchemars toutes les nuits, je me réveille en pleurant et en criant. Je n’arrive plus à dormir. » Elle affirme que ses enfants sont “son seul moteur”, “la seule raison pour laquelle elle est toujours en vie”. C’est aussi la raison pour laquelle elle ne veut pas « ne pas révéler son identité » : « Je ne me sens pas encore prête à ce que mes enfants connaissent la vérité. »
La plaignante annonce également son intention de « présent devant la Commission des droits et garanties constitutionnelles de l’Assemblée législative de la province de Mendoza ». « Je veux que cette commission analyse la manière dont la justice a fonctionné »elle assure, affirmant de ne pas faire « confiance dans le ministère public de Mendoza »et pointant le « intérêts politiques dans l’affaire ». « Je me sens impuissant » parce que « Je ne peux pas lutter contre les moyens financiers de ces joueurs ».