10.00
À Lusail pour l’Argentine contre l’Arabie saoudite en taxi. Les routes fermées entraînent 15 minutes éprouvantes de conduite en rond. « Bienvenue au Qatar », me dit mon patient chauffeur de taxi. Nous atteignons ce que j’assure être le parking le plus proche du stade. En ce qui concerne le stade est introuvable. Pas un bon début.
11h30
Une longue marche plus tard, je fais partie de certains fans saoudiens soutenant Newcastle qui pourraient ne pas être en mesure d’identifier Darren Peacock dans un line-up. Plus près du stade, cela ressemble soudainement à une Coupe du monde. Les fans argentins avec des 10 sur le dos pétillent d’attente, un groupe marocain chante de cette manière, ce qui suggère qu’ils ont le double du nombre de notes que les musiciens occidentaux.
13h00
Coup d’envoi dans un stade vibrant majoritairement de couleurs, seules les multiples poches de sièges vides assourdissant le buzz. Me sentant emporté, je regarde Lionel Messi en exclusivité pendant 10 minutes comme une sorte d’exercice de méditation. Son inaction louche stabilise mon pouls.
13h45
Une longue marche à travers Doha pour le coup d’envoi à 16h à Education City, donc je quitte Lusail à la mi-temps avec les gros favoris 1-0. Rien à voir ici.
telegraph Uk