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Éditorial La Presse de la Manche
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Deuxième épisode de notre série consacrée au journaliste Jean Levallois, plume historique de La Presse de la Manche. En rejoignant le en écrivant dans 1969LE jeune diplômé de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille découvre un journal où il est le seul à être un journaliste ayant fait un école.
La presse fonctionne à travers le paternalisme et le gentillesse d’un homme : Marc Giustiniani. A l’aube de années 1970Jean Levallois se prépare à participer à évolution et surtout aux modernisation de La Presse de la Manche :
En tant qu’étudiant, j’ai toujours pensé que la presse écrite aurait un jour des difficultés, mais que la proximité était son avenir. En arrivant à « La Presse », j’ai découvert un véritable journal local en symbiose avec ses lecteurs. « La Presse de la Manche » appartient aux Cotentinais, j’ai aimé cette relation entre le journal et les citoyens.
Préparer l’avenir du journal
LE chef de La Presse de la MancheM. Giustiniani, a un santé « délicate » et le éditeur en chef de journal n’était pas en grande forme à la fin de la années 60. Ainsi, le dirigeants a décidé de faire confiance à Jean Levallois, afin qu’il puisse assurer un remplacement possible pendant le convalescence De l’un des responsable de Cherbourg tous les jours.
Quelque temps après cette décision, le rédacteur en chef de La Presse de la MancheFrançois Dupont, est tombé malade Et décédé dans janvier 1970. Dans chagrinle journal perd un collaborateur dévoué. Face à cette terrible situation, Marc Giustiniani a décidé de réorganiser la presse pour mieux anticiper demain et préparer l’avenir.
Le développement de la publicité
Ainsi, Jean Levallois se retrouve, en même temps, chef du département des sports et également co-responsable de la Une du journal aux côtés de M. Giustiniani :
Je n’étais pas encore rédacteur en chef, car il y avait de vieux vétérans à récompenser.
Le temps passe et jeune étudiant devient un véritable homme de presse en devenant chef de la rédaction : « J’ai suivi toutes les ligne de production, je connaissais l’évolution du journal. Quand je suis arrivé, nous étions à 15 000 exemplaires de huit pages avec cinq petits caractères. Ensuite, il y a eu la grande évolution de l’informatiqueIl y avait un adaptation du personnel “.
Notre journaliste cherbourgeois a aussi vécu la période où Ouest de la France Et La Presse de la Manche étions dans une période de forte concurrence : «C’était le début de développement publicitaire “.
La famille Biard-Giustiniani
Mais dans son beaucoup de souvenirsJean Levallois évoque toujours avec émotion et beaucoup de respect le souvenir de propriétaires précédents de La Presse de la Manchelà Famille Biard-Giustiniani : ” La Presse de la Manche, c’était la vie de Marc Giustiniani. Il était accro à son journal. Il tenait à neutralité politique “.
Dans 2024l’ancien rédacteur en chef adjoint reste un lecteur quotidien attentif sur l’avenir :
La presse quotidienne est essentielle.
Jeanne et Marc Giustiniani, Daniel Jubert et évidemment son compagnon de voyage et ami, Marcel Clairet, sont des noms qui évoquent toute la vie du journaliste emblématique de La Presse de la Manche.
Dimanche 19 mai, dernier épisode consacré aux engagements politiques de Jean Levallois et à son action en faveur deLes économies de Cherbourg et Logement social.
Nicolas CALLUAUD
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