Le gouvernement américain a décidé, vendredi 12 avril, de faire payer davantage les constructeurs “l’extraction du pétrole, du gaz et du charbon en augmentant pour la première fois depuis cent ans la redevance sur l’exploitation privée des terres publiques fédérales”, expliquer Le New York Times. Dans la foulée, l’administration Biden « multiplie par plus de dix le montant des obligations que les entreprises doivent déposer en garantie avant de commencer à forer. »
Ces nouvelles règles s’attaquent « des tarifs avantageux bénéficiant à l’une des industries les plus rentables du pays ». Ils font partie intégrante de la politique du président américain visant à « réduire les émissions d’énergies fossiles et développer les énergies renouvelables », ajoute le quotidien américain.
Le principe de l’augmentation du taux de redevance (de 12,5 % à 16,67 %) et des garanties (de 2 à 10 dollars – de 1,88 à 9,40 euros – par acre – 0,40 hectare) a été voté au Congrès en 2022, dans le cadre du Loi sur la réduction de l’inflation.
3,5 millions de puits abandonnés
“Cette réforme des conditions d’exploitation du pétrole et du gaz sur le domaine public fédéral est la plus importante depuis des décennies, affirme la ministre de l’Intérieur Deb Haaland. Cela réduira la spéculation inutile, améliorera les finances publiques et protégera les contribuables des coûts de la restauration environnementale.
Sur ces terres publiques où subsistent quelque 3,5 millions de puits abandonnés, les garanties, jusqu’à présent, “n’a pas couvert les frais de nettoyage”, rappelle le média de la côte Est.
L’industrie paiera 1,5 milliard de dollars
Cette réforme, qui entrera en vigueur d’ici deux mois, devrait coûter cher aux industries des énergies fossiles “environ 1,5 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros) d’ici 2032”, selon les estimations du gouvernement.
Selon les sociétés pétrolières et gazières, « Ces changements pourraient nuire à la production de combustibles fossiles et à l’économie. » L’Association des producteurs pétroliers indépendants (IPAA) parle d’un « politique inappropriée » ce qui ne fera que« apaiser un petit groupe d’écologistes et réduire davantage la production américaine de gaz et de pétrole. »
Le gouvernement américain a décidé, vendredi 12 avril, de faire payer davantage les constructeurs “l’extraction du pétrole, du gaz et du charbon en augmentant pour la première fois depuis cent ans la redevance sur l’exploitation privée des terres publiques fédérales”, expliquer Le New York Times. Dans la foulée, l’administration Biden « multiplie par plus de dix le montant des obligations que les entreprises doivent déposer en garantie avant de commencer à forer. »
Ces nouvelles règles s’attaquent « des tarifs avantageux bénéficiant à l’une des industries les plus rentables du pays ». Ils font partie intégrante de la politique du président américain visant à « réduire les émissions d’énergies fossiles et développer les énergies renouvelables », ajoute le quotidien américain.
Le principe de l’augmentation du taux de redevance (de 12,5 % à 16,67 %) et des garanties (de 2 à 10 dollars – de 1,88 à 9,40 euros – par acre – 0,40 hectare) a été voté au Congrès en 2022, dans le cadre du Loi sur la réduction de l’inflation.
3,5 millions de puits abandonnés
“Cette réforme des conditions d’exploitation du pétrole et du gaz sur le domaine public fédéral est la plus importante depuis des décennies, affirme la ministre de l’Intérieur Deb Haaland. Cela réduira la spéculation inutile, améliorera les finances publiques et protégera les contribuables des coûts de la restauration environnementale.
Sur ces terres publiques où subsistent quelque 3,5 millions de puits abandonnés, les garanties, jusqu’à présent, “n’a pas couvert les frais de nettoyage”, rappelle le média de la côte Est.
L’industrie paiera 1,5 milliard de dollars
Cette réforme, qui entrera en vigueur d’ici deux mois, devrait coûter cher aux industries des énergies fossiles “environ 1,5 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros) d’ici 2032”, selon les estimations du gouvernement.
Selon les sociétés pétrolières et gazières, « Ces changements pourraient nuire à la production de combustibles fossiles et à l’économie. » L’Association des producteurs pétroliers indépendants (IPAA) parle d’un « politique inappropriée » ce qui ne fera que« apaiser un petit groupe d’écologistes et réduire davantage la production américaine de gaz et de pétrole. »