L’opposition de Joe Biden au rachat du fleuron de l’acier américain par son concurrent japonais est connue depuis plusieurs mois. Le blocage par l’exécutif de la fusion entre US Steel et Nippon Steel est sur le point d’être confirmé, a-t-on appris mercredi 3 septembre. Thé Washington Post. Une décision « incroyable », ce qui constituerait une « Un sérieux revers pour les relations (des États-Unis) avec le Japon. »
Bien qu’approuvée par les conseils d’administration des deux géants pour un montant de 14 milliards de dollars (environ 12,6 milliards d’euros), l’opération est suspendue depuis décembre dernier en raison de l’absence d’autorisation des régulateurs américains, rappelle le quotidien. En effet, Joe Biden a saisi le Comité sur les investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS), chargé d’examiner les propositions d’entités étrangères souhaitant acheter des entreprises ou des actifs aux États-Unis.
« En vertu de la loi, le président ne peut bloquer une transaction privée qu’après avoir reçu le rapport final du CFIUS », explique le Le Washington Post. Après des mois d’enquête, l’avis du comité présidé par la ministre des Finances, Janet Yellen, est toujours attendu. Mais, selon les sources du
L’opposition de Joe Biden au rachat du fleuron de l’acier américain par son concurrent japonais est connue depuis plusieurs mois. Le blocage par l’exécutif de la fusion entre US Steel et Nippon Steel est sur le point d’être confirmé, a-t-on appris mercredi 3 septembre. Thé Washington Post. Une décision « incroyable », ce qui constituerait une « Un sérieux revers pour les relations (des États-Unis) avec le Japon. »
Bien qu’approuvée par les conseils d’administration des deux géants pour un montant de 14 milliards de dollars (environ 12,6 milliards d’euros), l’opération est suspendue depuis décembre dernier en raison de l’absence d’autorisation des régulateurs américains, rappelle le quotidien. En effet, Joe Biden a saisi le Comité sur les investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS), chargé d’examiner les propositions d’entités étrangères souhaitant acheter des entreprises ou des actifs aux États-Unis.
« En vertu de la loi, le président ne peut bloquer une transaction privée qu’après avoir reçu le rapport final du CFIUS », explique le Le Washington Post. Après des mois d’enquête, l’avis du comité présidé par la ministre des Finances, Janet Yellen, est toujours attendu. Mais, selon les sources du