Mon petit renne est-ce une histoire vraie ? Ou inspiré d’une histoire vraie ? Dans le procès en diffamation intenté contre la série Netflix, « les mots sont importants », souligne Le New York Times. Et ils justifient la poursuite de la bataille juridique autour du programme.
Mon petit renne, qui a connu un immense succès populaire et critique lors de sa mise en ligne sur Netflix en avril 2024, met en scène le comédien écossais Richard Gadd dans son propre rôle. Il raconte comment, alors qu’il travaillait comme barman dans un pub londonien pour joindre les deux bouts, il a été harcelé et agressé par « Martha », une femme plus âgée que lui. Les sept épisodes se terminent par la condamnation de Martha, incarnée à l’écran par Jessica Gunning.
Vers un procès à 170 millions de dollars
Une certaine Fiona Harvey s’est rapidement manifestée après la diffusion de la série. « Elle a affirmé que les détectives en ligne l’avaient facilement identifiée grâce à ses publications sur les réseaux sociaux – dont beaucoup, selon elle, étaient répétées textuellement dans la série. » rappelle Le New York Times. Affirmant être la cible d’insultes lorsqu’elle sort dans la rue et souffrir de crises de panique, elle a porté plainte pour diffamation contre Netflix.
Le 27 septembre, un tribunal de Los Angeles a jugé recevable la plainte de Fiona Harvey, au motif qu’un coffret Netflix, en introduction de la mini-série, la présentait comme un “histoire vraie”, et non “inspiré d’une histoire vraie”. Cela encourage le public à considérer “comme des vérités ce qui se dit à l’écran”, a-t-il statué, rejetant l’abandon des poursuites demandé par Netflix.
La plaignante, qui dénonce certaines scènes comme inventées, réclame 170 millions de dollars (156 millions d’euros) en réparation du préjudice qu’elle dit avoir subi.
Mon petit renne est-ce une histoire vraie ? Ou inspiré d’une histoire vraie ? Dans le procès en diffamation intenté contre la série Netflix, « les mots sont importants », souligne Le New York Times. Et ils justifient la poursuite de la bataille juridique autour du programme.
Mon petit renne, qui a connu un immense succès populaire et critique lors de sa mise en ligne sur Netflix en avril 2024, met en scène le comédien écossais Richard Gadd dans son propre rôle. Il raconte comment, alors qu’il travaillait comme barman dans un pub londonien pour joindre les deux bouts, il a été harcelé et agressé par « Martha », une femme plus âgée que lui. Les sept épisodes se terminent par la condamnation de Martha, incarnée à l’écran par Jessica Gunning.
Vers un procès à 170 millions de dollars
Une certaine Fiona Harvey s’est rapidement manifestée après la diffusion de la série. « Elle a affirmé que les détectives en ligne l’avaient facilement identifiée grâce à ses publications sur les réseaux sociaux – dont beaucoup, selon elle, étaient répétées textuellement dans la série. » rappelle Le New York Times. Affirmant être la cible d’insultes lorsqu’elle sort dans la rue et souffrir de crises de panique, elle a porté plainte pour diffamation contre Netflix.
Le 27 septembre, un tribunal de Los Angeles a jugé recevable la plainte de Fiona Harvey, au motif qu’un coffret Netflix, en introduction de la mini-série, la présentait comme un “histoire vraie”, et non “inspiré d’une histoire vraie”. Cela encourage le public à considérer “comme des vérités ce qui se dit à l’écran”, a-t-il statué, rejetant l’abandon des poursuites demandé par Netflix.
La plaignante, qui dénonce certaines scènes comme inventées, réclame 170 millions de dollars (156 millions d’euros) en réparation du préjudice qu’elle dit avoir subi.