Septembre s’annonce bien, mais à ce jour, les noms des auteurs des viols collectifs présumés commis par des joueurs d’Équipe Canada junior en 2018 n’ont pas encore été dévoilés.
D’ailleurs, le site The Athletic a indiqué vendredi par l’intermédiaire de la journaliste Katie Strang que l’enquête de la police de Londres se poursuit, un porte-parole des autorités locales ayant confirmé l’ensemble. Aussi, il ne faut pas nécessairement s’attendre à ce que la Ligue nationale de hockey (LNH), qui a également mené ses recherches sur cette affaire, divulgue des noms avant la conclusion du processus en cours en Ontario.
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Il y a environ un mois, le commissaire adjoint de la LNH, Bill Daly, a déclaré à Strang qu’aucun calendrier pour une annonce n’avait été fixé, même si les camps d’entraînement commenceront plus tard en septembre. Ces commentaires contredisaient quelque peu les propos de certaines sources, dont l’expert en hockey Andy Strickland, qui affirmait que des suspensions allaient bientôt être imposées à des athlètes connus.
En raison de ces allégations, les porte-couleurs de l’équipe canadienne junior 2018 ne peuvent plus représenter le pays dans les compétitions internationales. Les patineurs notables incluent Cale Makar, Maxime Comtois, Carter Hart et Victor Mete.
En mai 2022, le Circuit Bettman a confirmé une enquête interne après avoir été avisé d’une poursuite intentée contre huit patineurs. La fédération nationale s’est retrouvée dans l’embarras en raison du règlement à l’amiable conclu par la suite avec la victime du viol.
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