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Durée de la vidéo : 1 min
En Géorgie, de nouvelles manifestations sont attendues ce jeudi 2 mai au soir après la manifestation d’hier qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes devant le Parlement. Les manifestants dénoncent un projet de loi controversé.
Devant la porte du Parlement géorgien, des tensions éclatent entre manifestants et forces de l’ordre. Les manifestants sont tenus à distance par des canons à eau et des gaz lacrymogènes alors qu’ils tentent de se cacher derrière des poubelles. Un peu plus tôt, ils étaient des dizaines de milliers dans les rues de la capitale, Tbilissi, pour dire “Non” au projet de loi sur l’influence étrangère. Un projet de loi jugé par ses détracteurs comme s’apparentant à la législation russe, utilisée pour réprimer l’opposition.
La France et les Etats-Unis très inquiets
S’il est adopté, le projet de loi empêcherait la Géorgie d’adhérer à l’Union européenne, même si sa candidature est officielle depuis décembre dernier. Le texte doit encore passer en troisième lecture au Parlement et le président, en conflit avec le parti au pouvoir, devrait y opposer son veto. Si l’Europe et les Etats-Unis se disent très inquiets de la situation, le Kremlin y voit l’occasion de renforcer son emprise sur la Géorgie. L’ONU, de son côté, a demandé le retrait du projet de loi.
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En Géorgie, de nouvelles manifestations sont attendues ce jeudi 2 mai au soir après la manifestation d’hier qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes devant le Parlement. Les manifestants dénoncent un projet de loi controversé.
Devant la porte du Parlement géorgien, des tensions éclatent entre manifestants et forces de l’ordre. Les manifestants sont tenus à distance par des canons à eau et des gaz lacrymogènes alors qu’ils tentent de se cacher derrière des poubelles. Un peu plus tôt, ils étaient des dizaines de milliers dans les rues de la capitale, Tbilissi, pour dire “Non” au projet de loi sur l’influence étrangère. Un projet de loi jugé par ses détracteurs comme s’apparentant à la législation russe, utilisée pour réprimer l’opposition.
La France et les Etats-Unis très inquiets
S’il est adopté, le projet de loi empêcherait la Géorgie d’adhérer à l’Union européenne, même si sa candidature est officielle depuis décembre dernier. Le texte doit encore passer en troisième lecture au Parlement et le président, en conflit avec le parti au pouvoir, devrait y opposer son veto. Si l’Europe et les Etats-Unis se disent très inquiets de la situation, le Kremlin y voit l’occasion de renforcer son emprise sur la Géorgie. L’ONU, de son côté, a demandé le retrait du projet de loi.