Dans le sud-ouest de la Colombie, le pétrole offre depuis longtemps un bel avenir aux habitants du département de Putumayo. Mais bien qu’il soit exploité depuis cinquante-cinq ans, l’or noir n’a jamais apporté aucun bénéfice aux habitants de la forêt primaire. Et « alors que l’histoire se répète inlassablement, une autre illusion succède à celle du pétrole, encore plus dévastatrice » : celui de la coca, dit le journal Le spectateur. Dans les années 1980, les agriculteurs “Ils ont soudainement arrêté de cultiver la terre et d’élever du bétail, convaincus que la coca les rendrait riches du jour au lendemain.”
Mais l’argent de ce commerce s’est à nouveau évaporé dans les poches de quelques mafieux, tandis que les habitants de Putumayo héritaient « de guerre et d’une malédiction qu’ils ne peuvent dissiper ».
Aujourd’hui, le gouvernement colombien veut profiter de la crise de la coca pour convaincre les agriculteurs de se rabattre sur le cacao et la vanille.
Selon le quotidien, l’État a investi près de 8,3 millions de dollars dans l’association Route du chocolat, qui regroupe 625 familles déterminées à reconvertir leurs plantations de coca et qui produisent déjà des tablettes de chocolat, du miel, des gâteaux, des sauces, du vin et de la crème.
Dans le sud-ouest de la Colombie, le pétrole offre depuis longtemps un bel avenir aux habitants du département de Putumayo. Mais bien qu’il soit exploité depuis cinquante-cinq ans, l’or noir n’a jamais apporté aucun bénéfice aux habitants de la forêt primaire. Et « alors que l’histoire se répète inlassablement, une autre illusion succède à celle du pétrole, encore plus dévastatrice » : celui de la coca, dit le journal Le spectateur. Dans les années 1980, les agriculteurs “Ils ont soudainement arrêté de cultiver la terre et d’élever du bétail, convaincus que la coca les rendrait riches du jour au lendemain.”
Mais l’argent de ce commerce s’est à nouveau évaporé dans les poches de quelques mafieux, tandis que les habitants de Putumayo héritaient « de guerre et d’une malédiction qu’ils ne peuvent dissiper ».
Aujourd’hui, le gouvernement colombien veut profiter de la crise de la coca pour convaincre les agriculteurs de se rabattre sur le cacao et la vanille.
Selon le quotidien, l’État a investi près de 8,3 millions de dollars dans l’association Route du chocolat, qui regroupe 625 familles déterminées à reconvertir leurs plantations de coca et qui produisent déjà des tablettes de chocolat, du miel, des gâteaux, des sauces, du vin et de la crème.