La conférence des présidents, qui rassemble les chefs des groupes politiques siégeant dans l’hémicycle, a 13 jours pour décider si le texte proposé par LFI passe à l’étape suivante, c’est-à-dire un examen dans l’hémicycle.
Publié
Temps de lecture : 1 min
Cela ne veut pas dire que la procédure est obsolète, mais c’est un premier revers pour les camps Insoumis à l’Assemblée nationale. Lors d’un vote mardi 2 octobre, la commission des Lois de l’Assemblée nationale s’est opposée à la proposition de destitution d’Emmanuel Macron, déposée par La France Insoumise. Les députés du parti reprochent au président de la République de ne pas avoir respecté le résultat des élections législatives en excluant la candidate du Nouveau Front populaire au poste de Première ministre, Lucie Castets.
Quinze députés ont voté en faveur de ce texte visant à traduire le chef de l’Etat devant les deux chambres réunies du Parlement, en vue de sa destitution pour “manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat”, tandis que 54 autres s’y sont opposés.
La conférence des présidents des groupes politiques doit désormais décider, d’ici 13 jours, si le texte passe néanmoins à l’étape suivante, c’est-à-dire un examen dans l’hémicycle.
La conférence des présidents, qui rassemble les chefs des groupes politiques siégeant dans l’hémicycle, a 13 jours pour décider si le texte proposé par LFI passe à l’étape suivante, c’est-à-dire un examen dans l’hémicycle.
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Cela ne veut pas dire que la procédure est obsolète, mais c’est un premier revers pour les camps Insoumis à l’Assemblée nationale. Lors d’un vote mardi 2 octobre, la commission des Lois de l’Assemblée nationale s’est opposée à la proposition de destitution d’Emmanuel Macron, déposée par La France Insoumise. Les députés du parti reprochent au président de la République de ne pas avoir respecté le résultat des élections législatives en excluant la candidate du Nouveau Front populaire au poste de Première ministre, Lucie Castets.
Quinze députés ont voté en faveur de ce texte visant à traduire le chef de l’Etat devant les deux chambres réunies du Parlement, en vue de sa destitution pour “manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat”, tandis que 54 autres s’y sont opposés.
La conférence des présidents des groupes politiques doit désormais décider, d’ici 13 jours, si le texte passe néanmoins à l’étape suivante, c’est-à-dire un examen dans l’hémicycle.