Un amphithéâtre de l’Institut d’études politiques de Lyon a été occupé jeudi soir par des manifestants pro-palestiniens.
Publié
Temps de lecture : 1 min
La direction de Sciences Po Lyon a demandé jeudi 2 mai aux étudiants occupant l’amphithéâtre de l’école de quitter les lieux sous peine de risquer d’appeler la police, rapporte le journaliste de Radio France présent sur place.
Depuis 10 heures ce jeudi, une centaine d’étudiants occupent un amphithéâtre de l’Institut d’études politiques (IEP) de Lyon, mobilisés pour Gaza. Parmi eux se trouvent des étudiants de l’IEP, mais aussi des universités Lyon 1, Lyon, 2, Lyon 3, et de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon (ENS). Beaucoup portent le keffieh palestinien.
Les étudiants ont décidé jeudi après-midi en assemblée générale de maintenir cette occupation de nuit, pour une durée indéterminée. Ils ont soumis leur décision à la direction de Sciences Po. Selon les étudiants, la direction leur a demandé de quitter les lieux, invoquant l’absence de poste de sécurité dans l’école. S’ils ne partent pas, la direction appellera la police afin de ne pas faire l’objet de poursuites pénales.
Selon un étudiant interrogé par Radio France, “le but de l’opération” titularisation à Sciences Po « c’est résister un peu pour attirer l’attention sur leur action en faveur de la Palestine ». Les étudiants s’attendent à être expulsés dans la soirée.
Un amphithéâtre de l’Institut d’études politiques de Lyon a été occupé jeudi soir par des manifestants pro-palestiniens.
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La direction de Sciences Po Lyon a demandé jeudi 2 mai aux étudiants occupant l’amphithéâtre de l’école de quitter les lieux sous peine de risquer d’appeler la police, rapporte le journaliste de Radio France présent sur place.
Depuis 10 heures ce jeudi, une centaine d’étudiants occupent un amphithéâtre de l’Institut d’études politiques (IEP) de Lyon, mobilisés pour Gaza. Parmi eux se trouvent des étudiants de l’IEP, mais aussi des universités Lyon 1, Lyon, 2, Lyon 3, et de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon (ENS). Beaucoup portent le keffieh palestinien.
Les étudiants ont décidé jeudi après-midi en assemblée générale de maintenir cette occupation de nuit, pour une durée indéterminée. Ils ont soumis leur décision à la direction de Sciences Po. Selon les étudiants, la direction leur a demandé de quitter les lieux, invoquant l’absence de poste de sécurité dans l’école. S’ils ne partent pas, la direction appellera la police afin de ne pas faire l’objet de poursuites pénales.
Selon un étudiant interrogé par Radio France, “le but de l’opération” titularisation à Sciences Po « c’est résister un peu pour attirer l’attention sur leur action en faveur de la Palestine ». Les étudiants s’attendent à être expulsés dans la soirée.