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la Fédération Française de Lose dévoile sa recette pour des JO réussis

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Temps de lecture : 4 min

La FFL, notamment connue sur les réseaux sociaux pour mettre en avant les plus gros échecs des athlètes français, attend Paris 2024 avec impatience.

A trois mois du début des Jeux olympiques et paralympiques, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, assure sur franceinfo que le président de la République “gagner”, qu’il “veut des médailles d’or” Et “titres” pour la délégation française. Mais d’autres observateurs attendent que les athlètes français franchissent le cap : la Fédération française de Lose (FFL) se prépare à un été épique entre “rocker parfait”, “plâtré d’espoir” Et “Défaite en or“. Franceinfo s’est entretenu avec Antoine, l’un de ses co-fondateurs.

Une chose est sûre, “l’été va être physique” pour la FFL, reconnaît Antoine. « Il y aura l’Euro, le Tour de France et les JO qui débuteront quelques jours après le Tour. Nous aurons beaucoup de travail, ce sera intensif, mais nous ne pouvons pas attendre », poursuit le co-fondateur du site. D’autant que les Jeux Olympiques sont l’un des moments les plus attendus par l’équipe. “regarder des sports qu’on regarde tous les quatre ans… Le tir à la carabine, par exemple, c’est un régal pour moi !”

«Nous visons les talents»

La FFL compte sept associés – dont deux à temps plein –, un alternant et une salariée chargée de la rédaction des articles. « Nous pourrions avoir besoin d’un peu d’aide pour être au courant lorsque les choses arrivent. »concède Antoine, même si l’organisation n’est pas encore déterminée. «Nous visons les talents»sourit le co-fondateur qui souligne que, fuseau horaire oblige, “Les horaires seront plus agréables qu’à Tokyo. Je ne manquerai pas de me lever à 3 heures du matin !”

En termes de pronostics, la FFL est généreuse : « 80 médailles, dont les Paralympiques ». Et pour cause, à trois mois des Jeux, l’espoir naît dans les esprits français. “On était dans une sorte de marasme total mais, ces dernières semaines, il y a quelques noms qui ressortent. Il y a Jean Quiquampoix au tournage, Léon Marchand et les frères Lebrun…” L’espoir, c’est justement ce que recherche la FFL pour mieux apprécier une éventuelle défaite : “C’est ça qui crée la désillusion. S’il n’y a pas d’espoir, on se dit : ‘Eh bien, il était censé perdre.'”

Fair-play malgré tout

La bonne recette est donc “un casting d’espoir” et le co-fondateur de la FFL nous livre un de ses “meilleur“expériences dans ce domaine: “C’était pendant les Jeux d’hiver, en ski cross. Je n’y connais vraiment rien et, en écoutant les commentateurs, on avait l’impression qu’ils étaient favoris. On se disait : ‘Ah oui, ils vont gagner’. . Et au final, ils ont terminé… derniers. Pour moi, c’est l’image des Jeux, des athlètes que je ne connais pas, dont je me dis qu’ils sont super forts et en fait, non. fort.”

Mieux encore, après « plâtré d’espoir »Il y a « le grand échec, si possible par chute ou par centième. C’est une défaite en or ! La FFL tient à rappeler son esprit bienveillant et son fair-play : “S’ils gagnent, ce n’est pas grave. Nous leur pardonnons, nous ne sommes pas si mauvais.”

« Parfois, vous échouez, mais vous pouvez en faire quelque chose de grand et en rire. »

Antoine, co-fondateur de la FFL

sur franceinfo

Les Jeux Olympiques et Paralympiques en France sont une parfaite opportunité pour l’équipe de vivre pleinement l’événement : “Les Jeux olympiques, quand on les regarde à la télévision, on a juste les épreuves et un peu du village olympique. On ne sait pas ce que ça fait de les vivre de l’intérieur. C’est ce que nous voulons documenter.” La FFL promet, à cet égard, d’être attentive aux « côtés » des Jeux : “l’ambiance dans les rues”, notamment. Et comme beaucoup de Franciliens, Antoine a un souci : “C’est savoir comment je vais me rendre d’un point A à un point B en transport. Cela fait partie de la défaite, mais on n’a pas attendu les JO pour ça ! Ajoutez une petite frappe et, là, on est au sommet.”

La Fédération Française du Lose est également la “rockeurs”, ces moments de transition entre deux chaînes de télévision, dont profite la FFL. “Les tongs, on verra… C’est toujours notre petit bonbon, rigole le co-fondateur. Le spectateur doit être tel un athlète, debout, vigilant. Sachez que si vous vous trompez, nous serons là à vos côtés !, il rit. Cet été sur Mouv’ radio, la FFL animera une chronique quotidienne autour des plus beaux moments des Jeux Olympiques et Paralympiques.

Fleur

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