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Durée de la vidéo : 2 minutes
Une fissure de plusieurs mètres sur une route très fréquentée, à l’ouest de Paris, a conduit la préfecture des Hauts-de-Seine à fermer une partie de l’autoroute A13, au moins jusqu’au mardi 23 avril.
La fissure semble s’étendre sur toute la largeur de l’autoroute A13, qui relie Paris à la Normandie. Très vite, les travaux sont entrepris. Le bitume a été creusé pour évaluer la profondeur de la fissure, 80 cm par endroits, puis colmaté la chaussée. L’autoroute entre Saint-Cloud et Vaucresson (Hauts-de-Seine) reste fermée, samedi 20 avril.
100 000 véhicules par jour sur ce tronçon
Chaque jour, 100 000 véhicules empruntent ce tronçon. Les causes de la fissure n’ont pas encore été identifiées. Un mouvement de terrain lié aux fortes pluies des dernières semaines semble être l’hypothèse privilégiée. L’autoroute est l’une des plus anciennes de France. Son viaduc a été construit en béton il y a 50 ans, mais l’usure de la structure n’en serait pas la cause, selon la direction des routes d’Île-de-France (DIRIF). « Nous n’avons jamais eu de problème particulier lié à la structure même de la chaussée.“, assure Jacques Salhi, directeur de la DIRIF.
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Une fissure de plusieurs mètres sur une route très fréquentée, à l’ouest de Paris, a conduit la préfecture des Hauts-de-Seine à fermer une partie de l’autoroute A13, au moins jusqu’au mardi 23 avril.
La fissure semble s’étendre sur toute la largeur de l’autoroute A13, qui relie Paris à la Normandie. Très vite, les travaux sont entrepris. Le bitume a été creusé pour évaluer la profondeur de la fissure, 80 cm par endroits, puis colmaté la chaussée. L’autoroute entre Saint-Cloud et Vaucresson (Hauts-de-Seine) reste fermée, samedi 20 avril.
100 000 véhicules par jour sur ce tronçon
Chaque jour, 100 000 véhicules empruntent ce tronçon. Les causes de la fissure n’ont pas encore été identifiées. Un mouvement de terrain lié aux fortes pluies des dernières semaines semble être l’hypothèse privilégiée. L’autoroute est l’une des plus anciennes de France. Son viaduc a été construit en béton il y a 50 ans, mais l’usure de la structure n’en serait pas la cause, selon la direction des routes d’Île-de-France (DIRIF). « Nous n’avons jamais eu de problème particulier lié à la structure même de la chaussée.“, assure Jacques Salhi, directeur de la DIRIF.