Publié
Durée de la vidéo : 3 minutes
En Algérie, à Timimoun, la foggara, technique ancestrale, permet d’irriguer les oasis.
A 1 200 kilomètres d’Alger, Timimoun (Algérie) est une ville culturelle réputée pour son festival de musique traditionnelle. La ville est également connue pour ses merveilles naturelles comme des oasis au milieu du désert avec des palmiers très verts. Après une période de sécheresse intense, la terre est craquelée. Mais ses secrets se cachent à quelques mètres de profondeur, dans des galeries souterraines vieilles de 800 ans.
La foggara, source d’irrigation des terres
Les ancêtres avaient construit un système d’irrigation pour les cultures, la foggara. Ce sont des tunnels légèrement inclinés qui drainent l’eau vers la terre. « C’est un système de puits et de ventilation », souligne Abdelhamid Hadj, responsable de l’entretien de la foggara de Timimoun. Ce système permet d’alimenter l’oasis. Les récoltes sont abondantes car la terre n’est jamais sèche.
Publié
Durée de la vidéo : 3 minutes
En Algérie, à Timimoun, la foggara, technique ancestrale, permet d’irriguer les oasis.
A 1 200 kilomètres d’Alger, Timimoun (Algérie) est une ville culturelle réputée pour son festival de musique traditionnelle. La ville est également connue pour ses merveilles naturelles comme des oasis au milieu du désert avec des palmiers très verts. Après une période de sécheresse intense, la terre est craquelée. Mais ses secrets se cachent à quelques mètres de profondeur, dans des galeries souterraines vieilles de 800 ans.
La foggara, source d’irrigation des terres
Les ancêtres avaient construit un système d’irrigation pour les cultures, la foggara. Ce sont des tunnels légèrement inclinés qui drainent l’eau vers la terre. « C’est un système de puits et de ventilation », souligne Abdelhamid Hadj, responsable de l’entretien de la foggara de Timimoun. Ce système permet d’alimenter l’oasis. Les récoltes sont abondantes car la terre n’est jamais sèche.