UN « victoire décisive » pour la gauche… C’est la conclusion à laquelle est parvenu le Temps de Corée au soir des élections législatives qui se sont déroulées ce mercredi 10 avril en Corée du Sud.
Les résultats définitifs doivent être connus le 11 avril au matin, mais le quotidien coréen s’attend à une large majorité en faveur du principal parti d’opposition, le Parti démocratique de Corée (PDC), qui, à la tête d’un bloc progressiste, pourrait l’emporter. à 200 sièges sur les 300 membres de l’Assemblée nationale.
LE Temps de Corée cite le président du PDC, Lee Jae-myung, après l’annonce des résultats préliminaires du vote :
“Je regarderai les résultats du décompte des voix jusqu’à la fin avec un cœur humble.”
Quand même, coupe-le Temps de Corée, « Cette élection est largement considérée comme une punition critique à mi-mandat du président Yoon Suk-yeol », élu il y a deux ans. Pire encore, elle pourrait même « porter un coup fatal au gouvernement Yoon et à son parti ».
Licenciement possible
Car si l’opposition contrôle les deux tiers de la chambre, elle pourrait lancer une procédure législative pour destituer le président Yoon.
Avant d’en arriver là, les partis de gauche pourraient simplement neutraliser le veto présidentiel, par une sorte de cohabitation à la coréenne qui rendrait illusoire toute tentative d’imposer sa politique pour le parti de droite Le Pouvoir au peuple, dont le président est devenu président. « Le sort de ses grands projets de réforme – dans les secteurs de la santé, du travail et de l’éducation – est désormais en jeu »conclut Temps de Corée.
Selon les chiffres recueillis par le quotidien, 67% des 44 millions d’électeurs ont voté, soit un peu plus que les 66,2% enregistrés lors des précédentes élections législatives de 2020.
UN « victoire décisive » pour la gauche… C’est la conclusion à laquelle est parvenu le Temps de Corée au soir des élections législatives qui se sont déroulées ce mercredi 10 avril en Corée du Sud.
Les résultats définitifs doivent être connus le 11 avril au matin, mais le quotidien coréen s’attend à une large majorité en faveur du principal parti d’opposition, le Parti démocratique de Corée (PDC), qui, à la tête d’un bloc progressiste, pourrait l’emporter. à 200 sièges sur les 300 membres de l’Assemblée nationale.
LE Temps de Corée cite le président du PDC, Lee Jae-myung, après l’annonce des résultats préliminaires du vote :
“Je regarderai les résultats du décompte des voix jusqu’à la fin avec un cœur humble.”
Quand même, coupe-le Temps de Corée, « Cette élection est largement considérée comme une punition critique à mi-mandat du président Yoon Suk-yeol », élu il y a deux ans. Pire encore, elle pourrait même « porter un coup fatal au gouvernement Yoon et à son parti ».
Licenciement possible
Car si l’opposition contrôle les deux tiers de la chambre, elle pourrait lancer une procédure législative pour destituer le président Yoon.
Avant d’en arriver là, les partis de gauche pourraient simplement neutraliser le veto présidentiel, par une sorte de cohabitation à la coréenne qui rendrait illusoire toute tentative d’imposer sa politique pour le parti de droite Le Pouvoir au peuple, dont le président est devenu président. « Le sort de ses grands projets de réforme – dans les secteurs de la santé, du travail et de l’éducation – est désormais en jeu »conclut Temps de Corée.
Selon les chiffres recueillis par le quotidien, 67% des 44 millions d’électeurs ont voté, soit un peu plus que les 66,2% enregistrés lors des précédentes élections législatives de 2020.