Le numéro 3 de la liste RN aux élections européennes est accusé par ces associations d’avoir facilité les refoulements illégaux en mer de bateaux de migrants.
:quality(50)/2023/07/07/64a7df4c5fe71_placeholder-36b69ec8.png)
Publié
Temps de lecture : 1 min
:quality(50)/2024/04/24/whatsapp-image-2024-04-24-at-08-59-18-6628bf0fab7b4330459254.jpeg)
« Nous ne sommes pas face à des associations apolitiques, mais à des adversaires politiques. » réagit Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national, sur franceinfo mercredi 24 avril, après la plainte, révélée par franceinfo et Le Monde, de la LDH et d’Utopia 56 pour complicité de crimes contre l’humanité et complicité de torture contre le numéro 3 sur la liste RN, Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex.
« Ce sont deux associations extrêmement politisées, extrêmement hostiles au Rassemblement national »affirme le député du Nord, en désignant notamment la vice-présidente de la Ligue des droits de l’Homme, Marie-Christine Vergiat « qui était encore député européen communiste il y a quelques années ». Selon lui, “Ce sont des gens qui mènent des combats hostiles contre le Rassemblement national et des combats pro-migrants.”
Une « manœuvre politique »
Fabrice Leggeri a été directeur exécutif de Frontex, l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, de 2015 à 2022. Dans cette plainte, il est accusé d’avoir activement facilité le refoulement illégal en mer de bateaux de migrants dans le cadre de ses fonctions. “On reproche à Fabrice Leggeri d’essayer de faire son travail”réagit Sébastien Chenu.
“Rien n’a été fait en dehors de l’aspect juridique du droit de la mer.”
Sébastien Chenusur franceinfo
Le vice-président du Rassemblement national dénonce “une manœuvre politique en pleine campagne électorale, pour tenter de discréditer un haut fonctionnaire qui n’a fait que son devoir, qui voulait le faire du mieux possible en respectant le droit de la mer et un cadre légal”il continue.
« Les éléments dont nous disposons aujourd’hui permettent d’affirmer que ce haut responsable a agi conformément à la loi. Les tribunaux apprécieront »il croit. “Je fais entièrement confiance à Fabrice Leggeri pour pouvoir le démontrer sans aucune ambiguïté”, souligne Sébastien Chenu. Les deux hommes se retrouveront dans le Nord samedi à Abscon pour une conférence-débat.
Related Post
Le numéro 3 de la liste RN aux élections européennes est accusé par ces associations d’avoir facilité les refoulements illégaux en mer de bateaux de migrants.
Publié
Temps de lecture : 1 min
« Nous ne sommes pas face à des associations apolitiques, mais à des adversaires politiques. » réagit Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national, sur franceinfo mercredi 24 avril, après la plainte, révélée par franceinfo et Le Monde, de la LDH et d’Utopia 56 pour complicité de crimes contre l’humanité et complicité de torture contre le numéro 3 sur la liste RN, Fabrice Leggeri, ancien patron de Frontex.
« Ce sont deux associations extrêmement politisées, extrêmement hostiles au Rassemblement national »affirme le député du Nord, en désignant notamment la vice-présidente de la Ligue des droits de l’Homme, Marie-Christine Vergiat « qui était encore député européen communiste il y a quelques années ». Selon lui, “Ce sont des gens qui mènent des combats hostiles contre le Rassemblement national et des combats pro-migrants.”
Une « manœuvre politique »
Fabrice Leggeri a été directeur exécutif de Frontex, l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, de 2015 à 2022. Dans cette plainte, il est accusé d’avoir activement facilité le refoulement illégal en mer de bateaux de migrants dans le cadre de ses fonctions. “On reproche à Fabrice Leggeri d’essayer de faire son travail”réagit Sébastien Chenu.
“Rien n’a été fait en dehors de l’aspect juridique du droit de la mer.”
Sébastien Chenusur franceinfo
Le vice-président du Rassemblement national dénonce “une manœuvre politique en pleine campagne électorale, pour tenter de discréditer un haut fonctionnaire qui n’a fait que son devoir, qui voulait le faire du mieux possible en respectant le droit de la mer et un cadre légal”il continue.
« Les éléments dont nous disposons aujourd’hui permettent d’affirmer que ce haut responsable a agi conformément à la loi. Les tribunaux apprécieront »il croit. “Je fais entièrement confiance à Fabrice Leggeri pour pouvoir le démontrer sans aucune ambiguïté”, souligne Sébastien Chenu. Les deux hommes se retrouveront dans le Nord samedi à Abscon pour une conférence-débat.
