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Durée de la vidéo : 2 minutes
Géorgie : la loi sur les « agents étrangers » suscite la colère des habitants
Géorgie : la loi sur les « agents étrangers » suscite la colère des habitants
(franceinfo)
La Géorgie est en proie à des tensions : le pays s’apprête à voter une loi « anti-occidentale », poussée par le gouvernement pro-russe. La mesure ne plaît pas à une partie du pays, tout comme son président pro-européen.
Une foule immense s’est rassemblée devant les portes du Parlement : dans la soirée du 17 avril, des manifestants se sont fait entendre pour la troisième journée consécutive à Tbilissi, capitale de la Géorgie. Après le vote des députés pour une loi jugée « anti-occidentale », le ton est monté. « Cette loi ne nous mènera pas vers l’Europe : elle ne peut en aucun cas contribuer à notre intégration européenne », explique un manifestant.
Un projet de loi sur l’influence étrangère
Si le projet de loi fait polémique, c’est parce qu’il traite de l’influence étrangère : adopté en première lecture par le parlement géorgien, le texte controversé déchire le pays. Lundi 15 avril, un député de l’opposition a même frappé un de ses collègues de la majorité. La loi de division impose à toute entreprise ou association financée à plus de 20% par des étrangers de s’enregistrer en tant qu’organisation poursuivant les intérêts d’une puissance étrangère. Le président pro-européen dénonce notamment l’influence russe du projet de loi.
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Géorgie : la loi sur les « agents étrangers » suscite la colère des habitants
Géorgie : la loi sur les « agents étrangers » suscite la colère des habitants
(franceinfo)
La Géorgie est en proie à des tensions : le pays s’apprête à voter une loi « anti-occidentale », poussée par le gouvernement pro-russe. La mesure ne plaît pas à une partie du pays, tout comme son président pro-européen.
Une foule immense s’est rassemblée devant les portes du Parlement : dans la soirée du 17 avril, des manifestants se sont fait entendre pour la troisième journée consécutive à Tbilissi, capitale de la Géorgie. Après le vote des députés pour une loi jugée « anti-occidentale », le ton est monté. « Cette loi ne nous mènera pas vers l’Europe : elle ne peut en aucun cas contribuer à notre intégration européenne », explique un manifestant.
Un projet de loi sur l’influence étrangère
Si le projet de loi fait polémique, c’est parce qu’il traite de l’influence étrangère : adopté en première lecture par le parlement géorgien, le texte controversé déchire le pays. Lundi 15 avril, un député de l’opposition a même frappé un de ses collègues de la majorité. La loi de division impose à toute entreprise ou association financée à plus de 20% par des étrangers de s’enregistrer en tant qu’organisation poursuivant les intérêts d’une puissance étrangère. Le président pro-européen dénonce notamment l’influence russe du projet de loi.