A deux jours de l’arrivée de la flamme olympique, la grève des éboueurs, entamée la semaine dernière dans deux districts, s’est désormais étendue à tous les secteurs. La métropole fait appel au préfet de police pour réquisitionner les agents accusés de « ternir l’image » de la ville.
Le Figaro Marseille
Poubelles débordantes et déchets jonchant le sol. L’image passe mal dans les rues de Marseille, à deux jours de l’arrivée de la flamme olympique à bord du Belém sur le Vieux-Port. Depuis une semaine, le syndicat CGT, qui n’est pas majoritaire, appelle les éboueurs à la grève. Le mouvement, qui a débuté la semaine dernière au 4e et 5e arrondissements, a progressivement gagné du terrain jusqu’à s’étendre ce week-end à la quasi-totalité de la ville.
Face à cette situation, la métropole d’Aix-Marseille a demandé dimanche au préfet de police des Bouches-du-Rhône de réquisitionner les agents grévistes. Dans un communiqué, la communauté les accuse de “ternir l’image de notre territoire et prendre en otage tous les Marseillais”. La préfecture de police dispose d’un délai de 48 heures pour répondre à cette demande, la veille de l’arrivée de la flamme.
Hautes tensions
Selon une source de la métropole Aix-Marseille, une trentaine d’agents sur les 850 que compte la collectivité participent à ce mouvement de grève, qui a notamment contribué au blocage des dépôts. “Ça va beaucoup mieux depuis ce (lundi) matin”indique cette même source.
Toutefois, la tension semble forte entre la communauté et les grévistes. « Des messages insultants et diffamatoires à l’égard des salariés de la métropole ont également été constatés, écrit la métropole. Une plainte a été déposée par la métropole. Ce type d’actions, comme celles des individus cagoulés, n’auront aucun effet sur la détermination de l’institution à veiller à la propreté des rues de Marseille. Interrogée sur ce point, la métropole Aix-Marseille a précisé qu’un appel à la démission sur une banderole visait un de ses cadres. Contacté par Le Figarola CGT n’a pas encore répondu à nos demandes à l’heure où nous rédigeons ces lignes.
A deux jours de l’arrivée de la flamme olympique, la grève des éboueurs, entamée la semaine dernière dans deux districts, s’est désormais étendue à tous les secteurs. La métropole fait appel au préfet de police pour réquisitionner les agents accusés de « ternir l’image » de la ville.
Le Figaro Marseille
Poubelles débordantes et déchets jonchant le sol. L’image passe mal dans les rues de Marseille, à deux jours de l’arrivée de la flamme olympique à bord du Belém sur le Vieux-Port. Depuis une semaine, le syndicat CGT, qui n’est pas majoritaire, appelle les éboueurs à la grève. Le mouvement, qui a débuté la semaine dernière au 4e et 5e arrondissements, a progressivement gagné du terrain jusqu’à s’étendre ce week-end à la quasi-totalité de la ville.
Face à cette situation, la métropole d’Aix-Marseille a demandé dimanche au préfet de police des Bouches-du-Rhône de réquisitionner les agents grévistes. Dans un communiqué, la communauté les accuse de “ternir l’image de notre territoire et prendre en otage tous les Marseillais”. La préfecture de police dispose d’un délai de 48 heures pour répondre à cette demande, la veille de l’arrivée de la flamme.
Hautes tensions
Selon une source de la métropole Aix-Marseille, une trentaine d’agents sur les 850 que compte la collectivité participent à ce mouvement de grève, qui a notamment contribué au blocage des dépôts. “Ça va beaucoup mieux depuis ce (lundi) matin”indique cette même source.
Toutefois, la tension semble forte entre la communauté et les grévistes. « Des messages insultants et diffamatoires à l’égard des salariés de la métropole ont également été constatés, écrit la métropole. Une plainte a été déposée par la métropole. Ce type d’actions, comme celles des individus cagoulés, n’auront aucun effet sur la détermination de l’institution à veiller à la propreté des rues de Marseille. Interrogée sur ce point, la métropole Aix-Marseille a précisé qu’un appel à la démission sur une banderole visait un de ses cadres. Contacté par Le Figarola CGT n’a pas encore répondu à nos demandes à l’heure où nous rédigeons ces lignes.