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Mis à jour
Durée de la vidéo : 2 min
A 73 ans, Michel Barnier est devenu jeudi 5 septembre le Premier ministre le plus âgé de la Ve République. L’homme qui succède à Gabriel Attal promet d’être à l’écoute de tous dans cette période instable.
C’est la fin d’une interminable attente. Pour Matignon, Emmanuel Macron a finalement choisi, jeudi 5 septembre, un homme de droite et d’expérience : Michel Barnier. A 73 ans, il est le Premier ministre le plus âgé de la Ve République, succédant au benjamin, Gabriel Attal. Ce dernier ne cache pas son “frustration” lors de son discours lors de la passation de pouvoir : « Huit mois, c’est court, c’est trop court. Et je ne vous le cache pas, il y a de la frustration à quitter mon poste après seulement huit mois. »
Sur le fond, Michel Barnier promet d’être à l’écoute de tous dans la période instable qui s’ouvre : « Il s’agira de répondre autant que possible aux contestations, à la colère, et enfin, il faudra respecter toutes les forces politiques. » La mission s’annonce plus que délicate. Il lui appartient désormais de former un gouvernement et de montrer la voie à une coalition qui s’est jusqu’ici révélée difficile à mettre en place.
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A 73 ans, Michel Barnier est devenu jeudi 5 septembre le Premier ministre le plus âgé de la Ve République. L’homme qui succède à Gabriel Attal promet d’être à l’écoute de tous dans cette période instable.
C’est la fin d’une interminable attente. Pour Matignon, Emmanuel Macron a finalement choisi, jeudi 5 septembre, un homme de droite et d’expérience : Michel Barnier. A 73 ans, il est le Premier ministre le plus âgé de la Ve République, succédant au benjamin, Gabriel Attal. Ce dernier ne cache pas son “frustration” lors de son discours lors de la passation de pouvoir : « Huit mois, c’est court, c’est trop court. Et je ne vous le cache pas, il y a de la frustration à quitter mon poste après seulement huit mois. »
Sur le fond, Michel Barnier promet d’être à l’écoute de tous dans la période instable qui s’ouvre : « Il s’agira de répondre autant que possible aux contestations, à la colère, et enfin, il faudra respecter toutes les forces politiques. » La mission s’annonce plus que délicate. Il lui appartient désormais de former un gouvernement et de montrer la voie à une coalition qui s’est jusqu’ici révélée difficile à mettre en place.