Publié
Durée de la vidéo : 2 min
Selon une étude européenne, les nouvelles exigences du Nutri-Score sont un succès pour la santé des consommateurs. Mais certains groupes de l’industrie agroalimentaire ne voient pas les choses de la même façon.
Qu’ils soient trop sucrés ou trop salés, cette année, le Nutri-Score se montre plus exigeant avec ses produits. Un durcissement positif, selon une nouvelle étude européenne réalisée sur près de 350 000 personnes. « L’intérêt de cette étude est de montrer que ce score fonctionne très bien pour classer les aliments selon leur profil nutritionnel et de relier cela à un risque de maladie cardiovasculaire »explique Mathilde Touvier, directrice de recherche à l’Inserm.
Mais avec la nouvelle notation, certains industriels voient rouge, car la note de leurs produits dégringole. Un yaourt à boire, considéré comme une boisson sucrée, passe par exemple d’un B à un D. Inquiet, Danone a réagi en retirant l’indicateur de ses étiquettes. Une décision « hypocrite » de la part du groupe, juge Serge Hercberg, créateur du Nutri-Score. A Bruxelles, des négociations ont commencé pour un indicateur commun. Elles n’ont toujours pas abouti.
Les professionnels de la protection de l'enfance se rassemblent à Paris ce mercredi 25 septembre, dans l'espoir de faire entendre…
MIchel Barnier va-t-il devoir installer une ligne téléphonique spéciale depuis Matignon ? Appelons-la SOS Amitié, ou SOS Zénitude, tant il…
Le nouveau ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l'action publique, Guillaume Kasbarian (au…
Enric Duran s'est fait connaître en septembre 2008 lorsqu'il a annoncé avoir « volé » un total de 492 000…
PORTRAIT - Passé par Levallois, l'Asvel et désormais la JL Bourg, l'ancien meneur palois succède à Vincent Collet sur le…
Il était soumis à une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Mais faute de laissez-passer consulaire et de temps…