A New York mardi soir (vers 02h30 mercredi, heure de Paris), c’est en tenue anti-émeute, aidés par un véhicule d’intervention muni d’une échelle, que des dizaines, voire des centaines de policiers ont pénétré dans le campus.
Publié
Temps de lecture : 1 min
La police new-yorkaise est intervenue mardi 30 avril à l’université de Columbia, épicentre de la mobilisation pro-palestinienne sur les campus américains, pour déloger les manifestants barricadés dans un bâtiment. Tous les militants ont été évacués du campus, affirment les médias américains.
A New York mardi soir (vers 02h30 mercredi, heure de Paris), c’est en tenue anti-émeute, aidés par un véhicule d’intervention muni d’une échelle, que des dizaines, voire des centaines de policiers ont pénétré dans le campus. Des agents casqués, grimpant à l’échelle, sont ensuite entrés par une fenêtre dans le bâtiment occupé. Des dizaines de personnes, certaines portant des keffiehs, ont été arrêtées et placées dans des bus de la police, a constaté l’AFP. A l’extérieur du campus, la foule criait “Palestine libre!”.
Présence policière sur le campus demandée « au moins jusqu’au 17 mai »
« Les événements d’hier soir sur le campus ne nous ont pas laissé le choix »a écrit la présidente de l’université, Minouche Shafik, dans une lettre rendue publique demandant à la police new-yorkaise d’intervenir sur le périmètre de cet établissement privé de Manhattan.
Dans sa lettre à la police new-yorkaise, Minouche Shafik appelle la police à « maintenir une présence sur le campus au moins jusqu’au 17 mai, afin de maintenir l’ordre et de garantir qu’aucun campement ne soit établi ». La cérémonie de remise des diplômes est prévue le 15 mai.
A New York mardi soir (vers 02h30 mercredi, heure de Paris), c’est en tenue anti-émeute, aidés par un véhicule d’intervention muni d’une échelle, que des dizaines, voire des centaines de policiers ont pénétré dans le campus.
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La police new-yorkaise est intervenue mardi 30 avril à l’université de Columbia, épicentre de la mobilisation pro-palestinienne sur les campus américains, pour déloger les manifestants barricadés dans un bâtiment. Tous les militants ont été évacués du campus, affirment les médias américains.
A New York mardi soir (vers 02h30 mercredi, heure de Paris), c’est en tenue anti-émeute, aidés par un véhicule d’intervention muni d’une échelle, que des dizaines, voire des centaines de policiers ont pénétré dans le campus. Des agents casqués, grimpant à l’échelle, sont ensuite entrés par une fenêtre dans le bâtiment occupé. Des dizaines de personnes, certaines portant des keffiehs, ont été arrêtées et placées dans des bus de la police, a constaté l’AFP. A l’extérieur du campus, la foule criait “Palestine libre!”.
Présence policière sur le campus demandée « au moins jusqu’au 17 mai »
« Les événements d’hier soir sur le campus ne nous ont pas laissé le choix »a écrit la présidente de l’université, Minouche Shafik, dans une lettre rendue publique demandant à la police new-yorkaise d’intervenir sur le périmètre de cet établissement privé de Manhattan.
Dans sa lettre à la police new-yorkaise, Minouche Shafik appelle la police à « maintenir une présence sur le campus au moins jusqu’au 17 mai, afin de maintenir l’ordre et de garantir qu’aucun campement ne soit établi ». La cérémonie de remise des diplômes est prévue le 15 mai.