La crise électorale au Venezuela, marquée par les résultats contestés de l’élection présidentielle du 28 juillet, pourtant validés (le 22 août) par la Cour suprême, aux mains du régime de Nicolás Maduro, suscite des inquiétudes quant à l’avenir du pays. La communauté internationale a une lourde tâche : faire pression efficacement pour que la démocratie soit rétablie.
Les pays de la région gouvernés par la gauche, comme le Brésil et la Colombie, peuvent avoir une influence fondamentale. Le Mexique, qui avait dit attendre la décision de la Cour suprême vénézuélienne, a ensuite dit espérer que le Conseil national électoral publierait les résultats des élections (ce qu’il n’a jamais fait), tandis que le Chili a déjà qualifié le régime actuel de dictature.
Médiateurs clés
La proximité idéologique des présidents Luiz Inácio Lula da Silva (Brésil), Gustavo Petro (Colombie) et Andrés Manuel López Obrador (Mexique) avec le régime de Nicolás Maduro les place dans une position de médiateurs clés, mais elle interroge également leur capacité et leur volonté de défier un leader qui ne montre aucune intention de quitter le pouvoir.
Dans ce contexte, il appartient à l’ensemble de la communauté internationale de trouver les moyens de résoudre
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Source de l’article
Lancé en 1943, Le National a longtemps été le quotidien le plus lu, le plus reconnu et le plus indépendant du Venezuela. Mais sous le régime autoritaire d’Hugo Chávez puis de Nicolás Maduro, il a été l’un des principaux médias du pays visé par la répression judiciaire. Fin 2018, il a été contraint de cesser sa publication papier, et poursuit son activité uniquement sur le web, avec des serveurs à l’étranger. « Aucune frontière, aucune censure ne nous arrêtera » Il écrivait alors. Son réalisateur, Miguel Henrique Otero, vit en exil en Espagne.
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La crise électorale au Venezuela, marquée par les résultats contestés de l’élection présidentielle du 28 juillet, pourtant validés (le 22 août) par la Cour suprême, aux mains du régime de Nicolás Maduro, suscite des inquiétudes quant à l’avenir du pays. La communauté internationale a une lourde tâche : faire pression efficacement pour que la démocratie soit rétablie.
Les pays de la région gouvernés par la gauche, comme le Brésil et la Colombie, peuvent avoir une influence fondamentale. Le Mexique, qui avait dit attendre la décision de la Cour suprême vénézuélienne, a ensuite dit espérer que le Conseil national électoral publierait les résultats des élections (ce qu’il n’a jamais fait), tandis que le Chili a déjà qualifié le régime actuel de dictature.
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La proximité idéologique des présidents Luiz Inácio Lula da Silva (Brésil), Gustavo Petro (Colombie) et Andrés Manuel López Obrador (Mexique) avec le régime de Nicolás Maduro les place dans une position de médiateurs clés, mais elle interroge également leur capacité et leur volonté de défier un leader qui ne montre aucune intention de quitter le pouvoir.
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