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Durée de la vidéo : 2 minutes
Ardèche : la production d’abricots en danger
En Ardèche, Benoit Nodin, arboriculteur, cherche désespérément à obtenir une bonne récolte de ses abricots qui ne poussent pas. Très peu de ses fruits arrivent à maturité.
(France2)
En Ardèche, Benoit Nodin, arboriculteur, cherche désespérément à obtenir une bonne récolte de ses abricots qui ne poussent pas. Très peu de ses fruits arrivent à maturité.
Produira-t-on suffisamment d’abricots cette année en Ardèche ? Sur les quatre hectares de Benoit Nodin, arboriculteur, les tiges nues s’étendent à perte de vue, mercredi 17 avril. Les petits fruits, à peine formés, tombent au moindre choc. Et dans la plupart des cas, il n’y a rien, car c’est la fleur elle-même qui a échoué. La faute, selon l’agriculteur, c’est un excès de pluie depuis le début de l’année.
Une récolte dix fois moindre
Et même si Benoit Nodin a diversifié ses variétés, aujourd’hui, 80 % de ses arbres ne portent quasiment aucun fruit. Un coup dur pour l’arboriculteur, qui récolte normalement 40 tonnes, alors que cette année, selon ses calculs, cela devrait être dix fois moins. Gels, grêle, sécheresse… Les aléas climatiques se multiplient, réduisant parfois les récoltes à zéro. Tout le monde espère aujourd’hui qu’une explication sera trouvée à ce phénomène météorologique, pour espérer des compensations financières de la part des compagnies d’assurance.
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Ardèche : la production d’abricots en danger
En Ardèche, Benoit Nodin, arboriculteur, cherche désespérément à obtenir une bonne récolte de ses abricots qui ne poussent pas. Très peu de ses fruits arrivent à maturité.
(France2)
En Ardèche, Benoit Nodin, arboriculteur, cherche désespérément à obtenir une bonne récolte de ses abricots qui ne poussent pas. Très peu de ses fruits arrivent à maturité.
Produira-t-on suffisamment d’abricots cette année en Ardèche ? Sur les quatre hectares de Benoit Nodin, arboriculteur, les tiges nues s’étendent à perte de vue, mercredi 17 avril. Les petits fruits, à peine formés, tombent au moindre choc. Et dans la plupart des cas, il n’y a rien, car c’est la fleur elle-même qui a échoué. La faute, selon l’agriculteur, c’est un excès de pluie depuis le début de l’année.
Une récolte dix fois moindre
Et même si Benoit Nodin a diversifié ses variétés, aujourd’hui, 80 % de ses arbres ne portent quasiment aucun fruit. Un coup dur pour l’arboriculteur, qui récolte normalement 40 tonnes, alors que cette année, selon ses calculs, cela devrait être dix fois moins. Gels, grêle, sécheresse… Les aléas climatiques se multiplient, réduisant parfois les récoltes à zéro. Tout le monde espère aujourd’hui qu’une explication sera trouvée à ce phénomène météorologique, pour espérer des compensations financières de la part des compagnies d’assurance.