Une motion en ce sens sera déposée pour revenir sur la décision de la maire de Paris de vouloir abaisser la vitesse maximale à 50 km/h sur le périphérique à partir du 1er octobre.
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Temps de lecture : 1 min
« La région Île-de-France déposera mercredi matin, en séance plénière, une motion pour proposer à la mairie de Paris d’abandonner ce projet d’abaissement de la vitesse maximale sur le périphérique »a annoncé Pierre Liscia, conseiller régional d’Île-de-France, sur franceinfo lundi 9 septembre. Ce proche de Valérie Pécresse, la présidente de la région, réagissait à la décision, confirmée par la maire de Paris Anne Hidalgo, de voir la limitation de vitesse à 50 km/h sur le périphérique entrer en vigueur à compter du 1er octobre.
« Ce que nous reprochons à la maire de Paris, c’est de prendre ce genre de décision de manière unilatérale et brutale. »explique Pierre Liscia. Il regrette que la décision ait été prise « sans concertation, sans concertation et surtout sans étude préalable, sans étude d’impact préalable »La conseillère régionale espère qu’Anne Hidalgo apportera « des garanties sur les itinéraires de signalement, sur la réduction du bruit, sur la réduction de la pollution. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas ». Il juge donc “prématuré” la décision du maire de Paris.
La motion que déposera le conseil régional sera également proposée à la mairie de Paris « d’entreprendre l’installation de nouveaux revêtements insonorisants qui réduiront de cinq le bruit routier »dit Pierre Liscia. La région « s’engage à financer la moitié du coût de cet investissement qui sera plus efficace pour réduire la pollution qu’une simple réduction de vitesse »précise le membre de la majorité au conseil régional d’Île-de-France. Pierre Liscia ajoute que la région demandera également que « La compétence du boulevard périphérique ne doit plus être confiée uniquement à la mairie de Paris, mais être confiée à Île-de-France Mobilité qui gère l’ensemble des transports en Île-de-France ».
Une motion en ce sens sera déposée pour revenir sur la décision de la maire de Paris de vouloir abaisser la vitesse maximale à 50 km/h sur le périphérique à partir du 1er octobre.
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« La région Île-de-France déposera mercredi matin, en séance plénière, une motion pour proposer à la mairie de Paris d’abandonner ce projet d’abaissement de la vitesse maximale sur le périphérique »a annoncé Pierre Liscia, conseiller régional d’Île-de-France, sur franceinfo lundi 9 septembre. Ce proche de Valérie Pécresse, la présidente de la région, réagissait à la décision, confirmée par la maire de Paris Anne Hidalgo, de voir la limitation de vitesse à 50 km/h sur le périphérique entrer en vigueur à compter du 1er octobre.
« Ce que nous reprochons à la maire de Paris, c’est de prendre ce genre de décision de manière unilatérale et brutale. »explique Pierre Liscia. Il regrette que la décision ait été prise « sans concertation, sans concertation et surtout sans étude préalable, sans étude d’impact préalable »La conseillère régionale espère qu’Anne Hidalgo apportera « des garanties sur les itinéraires de signalement, sur la réduction du bruit, sur la réduction de la pollution. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas ». Il juge donc “prématuré” la décision du maire de Paris.
La motion que déposera le conseil régional sera également proposée à la mairie de Paris « d’entreprendre l’installation de nouveaux revêtements insonorisants qui réduiront de cinq le bruit routier »dit Pierre Liscia. La région « s’engage à financer la moitié du coût de cet investissement qui sera plus efficace pour réduire la pollution qu’une simple réduction de vitesse »précise le membre de la majorité au conseil régional d’Île-de-France. Pierre Liscia ajoute que la région demandera également que « La compétence du boulevard périphérique ne doit plus être confiée uniquement à la mairie de Paris, mais être confiée à Île-de-France Mobilité qui gère l’ensemble des transports en Île-de-France ».