La lutte contre l’orpaillage illégal prend un nouveau tournant au Ghana. Ces derniers jours, organisations religieuses, société civile et syndicats professionnels dénoncent d’une seule voix l’inaction du gouvernement face à ce fléau environnemental, appelé « galamsey ». Un ultimatum a même été lancé : les autorités ont deux semaines pour mettre véritablement un terme à ces activités sous peine de poursuites judiciaires.
Avec notre correspondant à Accra, Victor Cariou
Rivières polluées, ruptures d’approvisionnement en eau dans plusieurs villes… Début septembre, les conséquences environnementales des mines d’or illégales se multiplient Ghana.
A lire aussiGhana : les fermes à trolls, un fléau russe et national
Pour la coalition des médias contre le « galamsey », cela doit cesser, maintenant. Andrew Edwin Arthur est l’un de ses membres fondateurs : « Ce que nous pouvons faire, c’est nommer et faire honte aux personnes de haut rang directement impliquées dans le commerce du galamsey. Nous donnons au gouvernement un ultimatum de deux semaines pour interdire toutes les activités liées au galamsey. »
Des actions en justice et des manifestations sont à prévoir si rien n’est fait dans les deux semaines, préviennent-ils.
Lire la suite sur RFI
GIorgia Meloni ne reviendra pas les mains vides de New York. Avant son passage à la tribune du 79et Lors…
Les professionnels de la protection de l'enfance se rassemblent à Paris ce mercredi 25 septembre, dans l'espoir de faire entendre…
MIchel Barnier va-t-il devoir installer une ligne téléphonique spéciale depuis Matignon ? Appelons-la SOS Amitié, ou SOS Zénitude, tant il…
Le nouveau ministre de la Fonction publique, de la Simplification et de la Transformation de l'action publique, Guillaume Kasbarian (au…
Enric Duran s'est fait connaître en septembre 2008 lorsqu'il a annoncé avoir « volé » un total de 492 000…
PORTRAIT - Passé par Levallois, l'Asvel et désormais la JL Bourg, l'ancien meneur palois succède à Vincent Collet sur le…