Depuis le milieu de l’été, la Thaïlande est en guerre. En guerre avec les Sarotherodon melanotheron, l’une des espèces de tilapia les plus invasives au monde. Ce n’est pas la première fois que des fermes d’élevage de poissons, de crevettes ou d’escargots sont menacées. Mais jamais à cette échelle. A tel point que, alarmés par les dégâts économiques potentiels (estimés à 10 milliards de bahts, soit 264 millions d’euros, selon le BBC Thaïlandais), les autorités ont appelé à la mobilisation générale. « L’éradication de cette espèce invasive est devenue une priorité nationale à la mi-juillet », noté Le Straits Times de Singapour.
Et à la fin du même mois, alors rapporté La Nation, Ils ont annoncé que dans 14 provinces, à compter du 1euh En août, chaque kilo de tilapia noir (reconnaissable à ses taches noires sur les joues et sous la bouche) serait payé 15 bahts (0,40 euro). Le budget a été débloqué par un fonds d’aide à l’industrie du caoutchouc, et « Les poissons pêchés serviront d’engrais pour 200 000 rai (78 000 hectares) d’hévéas », spécifié La NationLes foules se sont alors précipitées dans les ruisseaux, les étangs et les lacs pour capturer le vorace coupable.
« Originaire d’Afrique, le tilapia noir nuit aux écosystèmes locaux en se reproduisant rapidement et en s’attaquant aux espèces de poissons indigènes et à leurs œufs.
Depuis le milieu de l’été, la Thaïlande est en guerre. En guerre avec les Sarotherodon melanotheron, l’une des espèces de tilapia les plus invasives au monde. Ce n’est pas la première fois que des fermes d’élevage de poissons, de crevettes ou d’escargots sont menacées. Mais jamais à cette échelle. A tel point que, alarmés par les dégâts économiques potentiels (estimés à 10 milliards de bahts, soit 264 millions d’euros, selon le BBC Thaïlandais), les autorités ont appelé à la mobilisation générale. « L’éradication de cette espèce invasive est devenue une priorité nationale à la mi-juillet », noté Le Straits Times de Singapour.
Et à la fin du même mois, alors rapporté La Nation, Ils ont annoncé que dans 14 provinces, à compter du 1euh En août, chaque kilo de tilapia noir (reconnaissable à ses taches noires sur les joues et sous la bouche) serait payé 15 bahts (0,40 euro). Le budget a été débloqué par un fonds d’aide à l’industrie du caoutchouc, et « Les poissons pêchés serviront d’engrais pour 200 000 rai (78 000 hectares) d’hévéas », spécifié La NationLes foules se sont alors précipitées dans les ruisseaux, les étangs et les lacs pour capturer le vorace coupable.
« Originaire d’Afrique, le tilapia noir nuit aux écosystèmes locaux en se reproduisant rapidement et en s’attaquant aux espèces de poissons indigènes et à leurs œufs.